Ça passe où ça casse, il sera à moi saison 1&2
*RIAD
simplement parce qu'il incarne toutes les caractéristiques d
nes personnes parlent sans l'avoir jamais connu. J
ais. Pour moi, c'est l'élu de mon cœur, l'homm
touts : un corps de rêve, impossible
r lui, posant leur regard sur lui jusqu'à en ba
ble être attiré que par une seule et unique
nsieur Jules Ferry Andros affiche un comportement énervant et
, en fait. Cette fille m'énerve tellement que je suis prête à lui arrache
r cette fille appelée Sheila. C'est un sentiment
issant comme une égocentrique colérique qui ne pense qu'à elle-même. Quand ell
les bras pour qu'une vilipende s'en rapproche en
n'est pas facile, mais je suis déterminée, car j'ai
emande que victoire en amour. En retour, Jules es
cran, du charisme et je suis très futée. J'ai un atout exceptionnel : mes yeux bleus
je ne permets jamais qu'elle
parviendra, elle ne me
e à la maison, tandis que ma mère est à son lieu de travail, e
suis pas totalement seule, car ma meilleure amie Marlène est avec moi. Elle vient me rendre visite,
oi, je suis allongée sur le ventre tandis que Marlèn
cole, de l'amour en général, jusqu'à ce q
ton coup de cœur, Riade, m'ann
? m'écrie-je en furie. Pourquoi me parles-
de cœur secret ! dit-elle avec u
m'a parlé de cette poufiasse. D'
tes pas encore avec elle à propos de ce mec ? me
nant le regard. À ce que je sache, je ne me dispute
j'ajoute un mot pour me défendre ; el
meuf. Je sais que tu t'es encore battue a
histoire, pourtant elle n'est pas pré
dans ma tête. Heu, dis-moi Marlène, qui t'a dit tout
ie. Le plus important est que tu me parle
ssi blanches qu'une graine de riz. Elle se rapproche de moi pour
ce que tu penses, Marlène, réponds-je en lâchan
, pourtant ! dit-elle en se la joua
haîne en souriant légèrement : tu sais très bien que je n'aime pas cette fille,
oi tu la détestes autant. Pourtant, elle n'
s ? réponds-je d'un ton acide. Tu es une femm
re que ce n'est pas elle qui m'
i alors ?
e trouve que tu haïs cette fille un peu trop pour un
-je, les yeux totale
r, Riade, répond-ell
te fille et moi ne pouvons jamais faire bon ménage. Je la dét
sion que tu me caches la vérité, et mon intuition me dit que tu aimes
donne quoi de g
oureuse du prof et tu as peur qu'el
Dis-moi aussi la vérité, comment t
de jouer la sainte nitouche avec moi. Qu
prends gros là. Et dans tout ça, per
, mon nouvel petit ami ? demande-t-elle, s'allongeant aussitôt sur
Ev
est surprise de ma réaction. Scandalisée, je m'allonge
s cette tête ? s'
rquoi tu as tendance à te choisir d
e, d'accord ? Se tournant à son tour dans le lit pour me faire face, elle dit
qu'il peut t'apporter dans la vie, ce trou du cul, hein ? Dis-
fère rentrer chez moi ! m'
: ce mec ne la méritait pas. J'ai tout de suite compris que je l'avais vexée en
à main. Devant moi, elle se tient
x saccadée, tandis qu'elle me regarde av
t ! Tu me dégoûtes, Riade, di
ée, lui suppliais-je d'une voix
'excuser ! me dit-e
ds bien, c'est parce que j'ai parlé de la pauvreté de cet idiot ? Ôh mon Die
ue je vais me faire le plaisir de rentrer chez moi. Riade, change de
, attends, tu n'iras nulle par
ourant après elle. Sans aucune considération pour moi, elle préfère c
ît, reste ici, je n'ai pas envi
ison en me claqua
se ! m'écriai-je e
la retenir, mais elle est irraisonnable. Je va
attends, Marlène
mpêcher de partir. Je rentre, refermant la porte derri
-je nerveusement en claquant plusieurs f
tude venant de Marlène ; pourtant, cet homme ne la méri
i-je de colère. Elle ne mérite aucunement mon
ême pas hésité à me claquer la porte au nez
profitant du bruit de la
once avec de l'herbe. J'en ai un grand paquet, fraîcheme
e valeur inestimable, do
ut ce bordel va passer comme si elle n
pour allumer la cigarette. J'e
t dans la chambre, afin de ne pas alarmer ma mère quand elle va rentrer de son tra
te merde, donc je fais mes sales trucs en toute discrétion, e
aut en profiter au maximum à mon aise, sans être jugée par qui que ce
e m'appeler quand elle va venir ou râler déjà qu'elle en a ras-le-b
n souriant, prenant un air de bad trip. Que c'est
rouver à twerker. Je continue à danser. Il y a de l'alcool à gogo en
:05
atiguée, je suis submergée par l'ambiance, je veux danser encore et encore avec ma beuh en main,
ie. 25 ans, ce n'est pas être mineure. Je suis une adulte. L'effet
ve ? lançai-je d'une voix
l'amour, de coucher avec quelqu'un
nglais. Je sors sa photo de mon sac d'école et je me mets à l'embrasser.
ta bad girl ? Je veux coucher avec lui ! Je suis sûre qu'il monte su
ettre KO. La cochonnerie a eu raison de moi. Je me allonge doucement sur mon lit, car je tiens à peine
est-ce qui m'arrive, Dieu du ciel
** Marl
loin de chez elle. Je ne peux pas comprendre ni accepter qu'une perso
irigent vers moi avec un revolver en main. C'est dingue,
e moi. J'ai horriblement peur, j'obéis pour ne pas qu'ils me tuent. Le
'ordonne le braqueur d'une voix rauq
tement pourquoi je m'excuse réellement. Il engage la conver
le sac avant que je ne te planque un
cagoule noire de gang, avec son acolyt
nt désolée... Laissez-moi tranquille, sale bâtard ! m'écriai-
de refus. Le braqueur, furieux, me lance un avertissement, cares
tre gentille avec nous en nous filant ton pognon, ce petit sac et ce
re ça ? réponds-je en sanglots, sans aucune défense. Si c'est de l'argent que vous voulez,
stre couvert de cagoule. L'autre braqueur monte la garde, portant son flingue da
connasse ! o
issez-moi la vie sauv
s pas qu'ils allaient aller si loin, mais je continue à refuser. J'ai de
as le sac ? demande le br
Je ne peux pas, comprenez-moi !
m'exécuter le plus vite possible. Celui-ci me jette un reg
ie-je en vain, mais il tire juste une première
O
t goudronné. Pour moi, c'est juste la gâchette qui a retenti, po
le ciel tandis que les deux ho
nce sans m'en rendre compte. Les deux braqueurs s'enfui
allongée, complètement inerte,