Mon obsession au sexe m'as détruit
it été favorable en tout. J'étais un jeune très intelligent. J'étais cadre dans une entreprise en tant que professionnel de la logistique. C'était presque impossible de voir un jeune de cet âge dans
e exister. Le zizi, cet appareil sensé être uniquement de reproduction que les hommes ont entre leur jambe, est l'un
ié à la volonté de mon zizi et aujourd'hui j
aisonnement. Ça aurait été simplement un tuyau servant à uriner et à éjaculer pour faire des enfants et rie
e dès mon pl
n enfant
ts. Mon grand frère vivait avec notre grand-mère paternelle. Il était né 8 années avant moi. A ce moment, mes parents étaient dispersés, chacun vivant dans sa petite ch
eux et ils décidèrent d'amén
ivre ensemble. Ma mère m'avait raconté leurs débuts
comprendre. Et je peux dire que ma mémoire n'a
que j'étais si petit, mais en grandissant, j'avais pu remémore
e. Je croyais qu'il était un vieux monstre méchant qui aimait battre sur les femmes. Ma mère pleurait,
andi en vo
ompte de moi. C'est comme si je demeurais toujours bébé à leurs yeux. Comme si j'étais un moins que rien sans intelligence ni mé
re le gros bonbon de mon père. Lorsque nos regards se croisaient, ma mère me faisait un
ais mon
ui ? Il est très petit. Ne
J'étais en dessous de la petitesse. Peut-être il avait
mon bas-âge, avait pris le soin de garder soigneusement ces scè
informations qu'elle juge très sensible pour toi et pour l'instant. Et un jour alors que tu seras
d finalement. A ce moment, c'est le rire qui exprime la comprendre et parfois l'excitation et l'émotion vive accompagnée d'une phrase : « waoouuuuuuh je comprends maintenant ce que
s ma mère s'habiller. Je n'allais pas vers elle, mais elle me trouvait où j'étais et ne se gênait pas de me demander de sortir quand j'étais dans la chambre. Elle pommadait son c
e autre femme. Ou peut-être avoir hon
est ce qu'on app
? ce n'est pas comme nos caleçon
rès petit comme elle pensait. Je n'arrivais pas à comprendre comment le caleçon s
e normale et sensée dans sa tête pour me la
verras ça sur les filles. Mais sache que c'est mon caleçon et j'aime ça comme ça. Qua
c'est quo
ns. A leur yeux, j
oir. Maintenant laisse-moi m'habill
pour poser ses huiles de beauté, je pouvais voir ses seins. Elle portait son
rnelle grande section. J'avais trouvé la porte du salon ouverte et la télé allum
e détresse. J'avais vu mes parents nus et mon père dans une position d'animal. J'avais rem
et aucun d'eux n'avait remarqué ma pré
ui fais plus de mal.
a au salon j'arrive. Papa ne m
né au salon un peu déçu. Celle que je voula
ue temps après avec un foul
ntres et tu ne
ersonne et j'ai cru que papa te t
tapait pas. C'est comme ça que les grands
yais même dans mes bas âges que mon père ne m'a
tout sans pudeur, et sauvegardant dans ma mémoire, des