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Sous chaque coup de pinceau

Chapitre 4 Chapitre 3

Nombre de mots : 1232    |    Mis à jour : 19/03/2025

à son horloge, elle constata qu'il était déjà plus de sept heures. Elle était arrivée tard ce matin-là, vers huit heure

vait plus. Jetant un coup d'œil par la porte de son minuscule bureau, elle ne vit que quelque

er ce bureau, échapper à l'enfermement claustrophobe de ces quatre murs. Elle savait aussi que son

le avait l'impression que les murs se refermaient su

de son bureau. La tête basse, elle courut dans le couloir, déterminé

us petit de l'étage, sans fenêtre. Elle était tout en bas de l'échelle, lui avait dit son père lorsqu'il l'avait af

vait besoin de sortir, de se sentir vivante ! Elle avait besoin de respirer un air qu

scenseur, mais se ravisa. Quelqu'un pourrait sortir, la trouver en train de partir avant la fin de son travail et le signaler à son père. Elle s

t vers l'escalier, elle claqua la porte et dévala l'escalier. Arrivée

mur du bâtiment. Peu lui importait que l'air fût chargé des gaz d'échappement des voitures qui passaient à toute vitesse tandis

raient de son minuscule appartement. Mais surtout, elle allait simplement savourer son év

Elle était dehors et ne fixait pas un écran d'ordinateur. Kate prit plusieurs grandes inspirations, laissan

u piano. Le son ne la frappa pas vraiment, mais l'enveloppa, la rale

urs hôtels de Boston et elle leva les yeux vers le logo sophistiqué, se demandant à quoi ressemblait l'intérieur. Tandis que son esprit parcourait les images, son corps se balançait presque au rythme de la musiq

emanda gentiment le portier en la

formait ses traits. Malgré son ignorance, c'était une femme d'une beauté saisissante. Ses cheveux châtain foncé étaient relevés en un chignon professionnel à l'arrière de sa tête, ce qui ne faisait que souligner ses pommettes saillantes et l'élégante ligne de sa mâchoire. Ses yeux étaient d'un bleu clair saisissant, parfois presque m

licate, mais un sourire révélait au monde qu'elle était bien plus que cela. Il y avait une grâce et une timidité que son

», dit-elle en soupirant. « Je pense qu'un verre de quelque chose de s

, trébucha à son approche. Il retrouva rapidement son équilibre, mais rougit lor

rythme de la musique, se laissant bercer par le son et le laissant l'envelopper. Elle ferma les yeux, laissant son esprit visualiser les sons sur une toile. Comment capturer le rythme ? Comment traduire la sensation apais

ste, ne voulant pas que la musique soit personnifiée pour l'instant. Elle rendrait

'observaient depuis le coin de la pièce. Elle ign

boire ? » demanda le barman en polissant

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