L'Obsession du Mafieux
autour d'eux semblaient se poursuivre sans interruption, mais Lina se rendit vite compte qu'elle n'était pas la bienvenue. Les hommes lui lançaient des regards calcu
plement une question d'argent, ou même de respect. C'était une question de contrôle. De vie et de mort. Chaque geste de c
t un homme d'affaires, il était le maître de tout ce qui se passait dans cette salle. Son regard ne quittait jamai
ait de plus en plus mal à l'aise, surtout en voyant la façon dont les autres se comportaient avec lui. Ils étaient là pour écouter, p
e pourrait enfin supporter l'atmosphère étouffante, un homme s
sens-tu ici ? demanda-t-il,
it être une tentative de déstabilisation. Mais avant qu'
co, coupa-t-il d'une voix glaciale. E
res s'estompèrent, et tous les regards se tour
lle venait d'assister à un moment de pouvoir pur. Francesco, le regard noir, se re
'il venait de montrer à toute la salle que personne, personne ne
du moins, il ne la regardait pas comme avant. Ses yeux étaient
qui s'était déroulée dans la villa d'Alessandro avait été plus qu'éprouvante. Elle avait vu de ses propres yeux l'étendue du pouvoir d'Alessandro, mais aussi la manière dont il manipulait les autres, les marionnettes qu'il tirait d
des peintures au mur. Les rideaux épais étaient tirés, plongeant la pièce dans une semi-obscurité. Lina n'était plus qu'un spectateur dans ce décor.
et une posture qui dégageait une autorité tranquille. Lina le reconnut immédiatement. C'était Marco, un des hommes d'ombre d'Alessandro, un de ceux don
iriger vers un canapé en face d'elle.
dit-il d'une voix c
èrement, se forçant
er pourquoi je suis ici, murmura-t-el
s c'était un sour
pièce importante du jeu. Et il ne s'agit pas seule
parlait toujours avec cette assurance qui faisait naître l'inquiétude en el
-t-il. Que ton seul avenir est de devenir la mère d'un enfant destiné à renf
'idée qu'il sache
bien exister pour moi dans ce... lieu
, un éclat de satisfaction pas
r. De sortir de ce réseau, de cette
e personne ici, dans cet univers aussi contrôlé par Al
erais-tu ça ? P
noux et croisa les mains, ses ye
ux, et il ne le sait pas encore, mais il les a sous-estimés. Tu es un atout, Lina. Tu as de la valeur, même s