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L'amour d'un loup oublié

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1107    |    Mis à jour : 18/03/2025

ns de poussière qui dansaient sous la lumière du matin. Le froid mordait la peau de Sel

isoler dans la petite cabane qu'elle utilisait parfois pour fuir la pression de

e n'avait presque rien avalé depuis cette nuit fatale, et son corps commençait à en subir les

lever avant que son estomac ne se retourne. Elle tituba hors de la cabane et

place à une faibl

it court, sa tê

hose n'al

elle, se répandant comme d

on.

it pas p

e. Son esprit refusa d'accepter l'évidence,

main tremblante

arcourut de la

sav

rmation médicale. Elle le savai

it l'enfan

violemment qu'elle eut l

ait pas p

uvait-elle

le non uni par le lien du destin était vu comme une faiblesse, u

onan

rejetée avec une fr

dans sa gorge, ma

ester là, à se laisse

ait lui

*

plein entraînement matinal. Selena se fraya un chemin parmi eu

rsation depuis la nuit du bal. L'humiliation publiq

, elle n'en avai

tif était de t

, torse nu, son corps couvert d'une fine couche de sueur

e serra ma

ant... et pourtant, il ava

mbat, les poings serrés, puis s'ap

ona

ement, essuyant la

referma instantané

-ce que

ec, tranchant c

essayant de calmer les batt

ut qu'o

sourcil, visi

clair, Selena. Il n'y a

ortant, ins

e tu as à dire

t à partir, mais el

s'il te

regardant enfi

froid, dénué de

i dit de

brisa une fo

tes juste faire comme si rie

exacte

cula, d

aissait auc

ais eu l'inten

l'intérieur de sa joue pour ne

ès b

nte, mais elle se for

s, elle tourna les

savait qu'elle ne

*

aient vite au se

elle sentait déjà les regards sur elle. Des chuchotements s'él

la tête haute, mais une partie d'ell

son teint pâle, ses all

is avant même qu'elle

poings, espérant pouvoir se réfugier dans sa ch

ssant le seuil,

ntre du grand hall, les bras cr

ruta un instant, et un s

mença-t-il d'

son souffle

ue chose que t

familiale, les yeux rivés sur l'horizon. L'air était chargé d'une tension étrange, un frisson d'appréhension qui parcourait la forêt. La meute était en

nt, enveloppant le paysage d'une ombre inquiétante. Elle entendit des bruits au loin, des bruits q

ele

pha arriver, l'air grave. Son visage, normalement marqué par la confiance et

passe ? Pourquoi tout l

d'un air pre

lpha de la meute voisine.

un bond dan

N'avons-nous pas t

aussi. Mais il y a des tra

ni

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