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Quand l'interdit séduit

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1199    |    Mis à jour : 18/03/2025

scotch bien fort. « Si tu ne peux pas les arrêter », dit-elle à son grand-père avec une lueur dans les yeux, « alors je dois les rej

'asseoir. Elle attendit une fraction de seconde, puis s'assit sur une chaise que le majordome avait placée comme par magie derrière elle. Dylan observa le mouvement, fasciné par la fa

y. Si elle savait les fantasmes érotiques que sa grâce et sa silhouette évoq

. Et ce sourire la mettait vraiment en colère ! À quoi pensait-il ? Pourquoi ne pouvait-il pas détacher son regard de sa grande sœur ? Ne connaissait-il pas les règles de la socié

uyeuse dont sa petite-fille avait fait preuve envers tous les hommes qui avaient croisé sa route récemment. Y compris cet idiot de Charles, qui n'arrêtait pas de la harceler. Un signe positif, en effet. Car il avait des projets ! De grands projets ! Il dev

ar les Beauchamp ce soir », expliqua-t-il. Se tournant vers Dylan,

savait qu'il lui suffirait de passer la soirée pour ne plus jamais revoir ce Dylan. « Pourquoi n'es-tu pas là ce soir ? » demanda-t-elle à son grand-père, essayant toujours d'exclure l'autre homme de la

s, ta mère avait besoin d'une escorte. » Il grimaça devant l'obstination de sa fille. « Dieu sait qu'il y a plein d'hommes prêts à l'accompagner où elle

implement que la demande de son grand-père était simple et à court terme. Elle n'aimait pas l'idée de côtoyer cet homme imposant plus que nécessaire, mais elle ne refuserait pas une demande de son gran

Et tu as dit que tu étais entre deux projets en ce moment, c'est ça

réer leur robe de mariée idéale. Elle adorait son travail, mais avait volontairement choisi de rester modeste pour pouvoir la gérer elle-même. Elle n'avait pas besoin d'être la créatrice la plus importante ni la plus connue du secteur, pensa-t-elle en regardant Dylan Alfieri avec une

écouvrir à Dylan Alfieri les familles concernées et les événements des prochaines semaines. Il aura b

nversation. Elle ne pouvait plus rien faire d'autre que de se tourner vers l'homme et de le saluer. « Monsieur Alfieri », dit-elle en testant son nom sur ses lèvres. « Pourquoi je connais ce nom ? » Elle ne s'engageait pas non plus à lui faire visiter les

lien. Mais l'accent profond et méridional de Georgette étendait ce nombre à six ou sept syllabes et semblait ajouter quelques voyelles supplémentaires. Alors que la plupart disaient « Alfeearee », ce qui était co

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