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Quand l'interdit séduit

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1193    |    Mis à jour : 18/03/2025

s il n'était pas nécessaire de le dire à cet homme. « Laqu

s trois », dit-il, connaissant la réponse. « Mais tu ne peux pas

C'était inhabituel en soi – il se fichait généralement de qui il offensait. Les

s fixés ? » Il oublia de préciser qu'il était déjà en pourparlers avec Demisis pour le terrain

s les yeux du vieil homme. « Voilà ce que je peux te donner

tes, Dylan eut l'impression d'être vaincu. Il n'avait jamais perdu une bataille ! Mais cette femme sembla l

tinua plus bas, se demandant si sa taille était vraiment si fine ou si elle portait un de ces engins extravagants dans lesquels les femmes se déhanchaient parfois et qui affinaient leur silhouette. En observant ses hanches généreuses, il comprit qu'elle était femme à part entière. Ni grosse, ni maigre, juste douce, ronde et... pulpeuse. Il n

ent ses yeux noisette, il comprit qu'il avait exaspéré la beauté par son regard perçant. Il lisait la colère dans ces yeux magnifiques et son corps réa

raître confiante alors que chaque cellule de son corps vibrait de... quelque chose. Georgette refusait d'accepter qu'elle puisse être le moind

es manières lui avaient été inculquées toute sa vie. Sa grand-mère et sa mère, toutes deux élégantes, ne se feraient jamais prendre, ni en fuite ni en train de donner des coups de pied. Son seul recours était de rester immobile, espéra

i elle était une barre chocolatée, prêt à la dévorer. Elle détestait la chaleur qui impré

s tremblait sous ce déshabillage flagrant, elle décida que l'ignorer était la meilleure solution. Se tournant vers son grand-père, elle lui

le coupé pendant un long moment. Il resta planté là, absorbant ses paroles, ressassant son accent. Au lieu de prononcer chaque syllabe, elle les prononça comme une chanson. Les mots d'une syllabe se transformèrent en deux ou trois,

oie tandis qu'il s'approchait pour la saluer.

les yeux rivés sur le cigare qu'il tenait à la main. « Je cr

de nouveau sa petite-fille avec espoir. «

d-père. » Elle regarda l'autre main de l'homme. « Et le bourbon ? » demanda-t-elle avec exaspération. Cet homme était une légende du monde des affai

prévint-il avec humour, mais d'un ton qui laissait entendre

Il aurait parié sa fortune que cette femme avait même verni ses ongles de pieds. Rose, supposa-t-il. Puis il regarda ses hanches charnues et secoua mentalement la tête. Rouge. Rouge, assurément. Et puis son esprit imagina

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