Le jeu de séduction
i tout son être était suspendu à cette tension palpable. Elle avait beau chercher une échappatoire, une solution, une réponse qui pourrait briser ce moment
formuler. Elisa savait qu'il n'était pas un homme qui se contentait de la surface des choses. Il voulait plus, beaucoup plus. Il avait cette cap
es ici pour le travail. Mais, Elisa..." Il s'avança encore, les yeux fixés sur elle, son so
emettre les choses à leur place. Elle aurait dû refuser, lui dire que ce jeu n'était pas pour elle, que les frontières profes
siennes, et pourtant, il ne les toucha pas. Il se contenta de l'observer, un sourire en coin, comme s'il savait exactement ce qui se passait dans sa tête. Et Elisa, b
lui proposait, ce n'était pas simplement un jeu de pouvoir, c'était un défi. Un défi qu'elle n'était pas sûre de vouloir relever, mais qu'elle ne pouv
échappa de ses lèvres avant qu'elle ne pu
ix toujours aussi calme, mais avec un sous-entendu que seul elle pouvait percevoir. "Parce que, Elisa," commenç
ait à l'attirer dans une dynamique où il serait l'initiateur et elle, l'apprentie. C'était une danse qui ne pouvait se jouer qu
touffante. Son regard se fit plus déterminé, une lueur d
t pas l'air déstabilisé, bien au contraire. "Tu crois vraiment que tu as
-elle réellement le choix ? Ses jambes la portèrent sans qu'elle ne s'en rende compte, et elle se retrouva à fa
t, doucement mais sûrement. Elle s'arrêta finalement près du bureau, se forçant à reprendre son
nt pour murmurer à son oreille : "Ce n'est pas un jeu de séduction, Elisa. C'est un
rière elle, et malgré ses protestations internes, un frisson parcourut son échine. C'était comme s
ension. Et, plus elle résistait, plus la tentation devenait grande. La question, désormais, n'était plus de savoir si elle réussir
ur battait la chamade, la tempête intérieure menaçant de tout emporter sur son passage. Elle avait l'impression
u'elle prenait, comme s'il voulait la lire à travers la moindre de ses réactions. Il savait, il sentait, qu'i
y avait une nuance de défi dans son ton, mais aussi une note d'excitation. Il savait qu'elle n'ét
ontrôle qu'il arborait avec une aisance déconcertante. Mais il n'y avait rien à y faire
t-elle, la voix plus ferme qu'elle ne se l'était imaginé
," répondit-il en la surplombant, son ton un peu plus incisif. "Tu penses que tu peux garder le contrôle, mais regarde-toi. Regarde ton corps, ton so
le aussi vulnérable à ses provocations ? Pourquoi, alors qu'elle se savait plus forte que tout cela, sentait-elle le doute s'immiscer en elle, comme une brume
contenue. "Tu n'as pas le droit de jouer avec moi. Pas de
ille intérieure ? Était-ce son propre désir qu'elle combattait ? Car quelque chose en elle la poussait à ne pas fuir, à ne pas tout effacer d'un revers de main.
e voix plus froide, plus calculée. "Je sais ce que tu veux,
à faire. Mais à chaque mouvement qu'il faisait, il se rapprochait un peu plus du moment où elle devrait choisir. Choisir de se plier, choisir de lutter, ou peut-être choisi
sant le silence d'une voix qui la fit frissonner. "Tu as peur de t
on charmeur et manipulateur. Il était devenu une énigme mouvante, un homme dont les intentions, pourtant claires comme le jour pour certains, étaient flou
Tout ce qu'elle savait, c'était qu'Adrian n'était pas un homme qu'elle pouvait combattre de manière simple. Ce n'était pas un simple jeu de