Le clan des héritiers
sur un éperon rocheux, Sélène observait la vallée en contrebas, scrutant l'obscurité pour détecter l
, prêts à bondir à son signal. Plus loin, Kael et le reste des soldats étaient
du vent. Elle posa une main sur le manche de sa dague, sent
in, ils a
seurs aguerris. Leurs capes sombres se fondaient dans l'obscurité, ne révélant que l'écla
it un pas en avant, laissant son ombre se
vez mis
trebas, les assaillants s'immobilisèrent, comme des pr
n avant. Sa capuche masquait son visage, mais son a
t-il, amusé. J'aurais dû
sourcil, croi
chose. Qui envoie ses homme
rit do
que tu n'as pas
liser. Il voulait l'amener à douter, à hésiter. Mais S
de plus, le dé
i, qui
nguleux, des traits marqués par des cicatrices anciennes.
all
nom... Elle l'avait déjà entendu. Un guerrier légendaire, un me
mperceptible
st toi, sou
quissa un
il est trop tard
rendit so
oup tro
le at
en un tourbillon de
ent fluide, pivotant sur lui-même pour riposter d'un coup rapide. Elle para de justesse, sentant la f
lames mordant la chair des assaillants. Le bruit du métal s'entrechoquant réson
pas se permettre de d
de justesse la lame qui siffla à quelques centimètres de son ventre. Il enchaîna sans lui laisser le temp
is étira les lèvr
e, admit-il.
ttit s
it jaillir des étincelles contre la pierre, et avant qu'il ne puisse se rep
c, mais au lieu de s'effo
. Vraimen
lentement, sa dag
e parler e
rire s'
c pla
jeta s
oup visant une ouverture, chaque feinte cherchant à la piéger. Sélène esquivait, parait, contrait,
t trouver
déchira
ri
assez pour voir l'un des hommes de Callan pl
donner un
an f
explosa dan
mpact. Son sang coula sur la neige, un rou
le ne t
a fixait, surpris. Il s'attendait à l
prenait p
rûlure dans son côté. Et avec une vit
ne force inhumaine, et cette fois, c
Tu
inir. Sélène bondit sur lu
it pas un sim
la forçant à lâcher son arme. Avant qu'elle ne puisse réagir, il
esant s'abat
hommes de Callan et ceux de Sélène s'
de la lame contre sa peau, mais
rmura-t-ell
, son souffle court. Puis, l
soir, sou
n pas, relâch
onça les
-ce que
et une vendetta, répondit-il. Ce n'est pa
omprit
n'était
ais eu l'inten
rs... po
ffla un ordre et ses hommes se replièrent, disparais
ffle court, regardant son enn
it que ce n'était pas
était rou
vait disparu. Son cœur battait encore trop vite, l'adrénaline pulsait da
douleur la rame
ari
sure béante à son épaule. Son visage était crispé de douleur, mais il ne laissa échappe
ignure, gronda Darius e
e sur son épaule pour le
durs, souffla-t-el
pé de sang. Sélène inspecta la blessure – profonde, mais pas mortel
e l'eau et
oigna vers les chevaux, laiss
rdel ? demanda-t-il entre d
serra l
mise e
regarda,
arde ? On s'est
tuer, coupa-t-elle. Mai
les bandages et une gourde d'eau. Sélène s'attela à nettoy
e fait rien sans raison. S'il nous a laissés en v
mme
plaie bandée, elle s'écarta et croisa les bras
oir ce dont j'
n échangèrent u
il te teste ?
n sui
Le vent s'était levé, faisant danse
on est, souffla D
e : Callan n'était pas seulement un adversaire. Il était un joueur
ir ses véritables intentions
♦
Ils chevauchèrent en silence, les blessures et la fatig
tion des Loups de l'Ombre, apparurent au loin, S
tours griffant le ciel noir. Des torches éclairaient les re
nt à leur approche, mais dès qu'elles reconnu
z les p
orsque les immenses portes de bo
agitation se répandit autour d'eux. Les guerriers,
élè
une jeune guérisseuse, se précipita v
êtes bl
oins, répondit Sélène
gne à deux guérisseurs d'emme
es suivre, une voix grave et aut
eyr
se
e commandant des Loups de l'Ombre, se tenait droit, sa haute silhouette im
bureau. Tou
alons sans atte
de le suivre, sentant les mu
e faisait qu