Le clan des héritiers
et les remparts du palais royal. Le vent, léger, soulevait par instants la poussière sur les chemins pavés, portant avec lui l'écho lointain d
de mais silencieux, évitant naturellement les racines traîtresses qui serpentait sous les feuillages. La capuche de son manteau dissimulait s
'elle avait perdu. Mais cette fois, l'amertume s'acco
se, se tramait dans l'ombre. Des soldats avaient disparu. D'autres avaient été retrouvés morts, la gorge tranchée avec une p
oin. Les gardes postés sur les remparts ne firent aucun geste hostile à son approche.
ante. Des torches brûlaient le long des murs de pierre, projetant des ombres mouvantes sur les visages des soldats
couloirs silencieux du palais. Ses bottes frappaient les dalles de marbre avec une c
ssis à son bureau, une carte du royaume étalée sous ses doigts. Il releva la tête
enue plus t
orte derrière elle,
ssage scellé d'urgence, on ne prend
expression redevint grave en un ins
st pire que ce q
à l'encre rouge. Des cercles entouraient plusieurs noms de vi
vois pillés... et ces assassin
lement une révolte
e, son regard dev
Quelqu'un qui sait exactement où
dressa, le r
que je l
ne question. C'é
pour sonder son état d'esprit
e tu fais le mieux. Démasquer
s et de danger. Sélène savait que cette missi
le y avait été pré
e comptait bien en
r la lueur tremblotante des torches accrochées aux murs de pierre. Sélène avançait d'un pas sûr, ses sens en évei
leur dépassait peut-être tout ce qu'elle avait accompli
u métal emplissait l'air. Une torche, plantée dans un support mural, projetait des ombres longues et mena
rêta, tenda
'est un massacre, il
tout le monde sait que c'est lié. Ce n
à ces rumeurs ? Un complo
e pesant
ent trop de questions finis
ysant les informations qu'elle venait d'entendre. Les soldats p
er étai
térieur, l'espace était sobre, presque spartiate. Un lit, u
s doigts habiles, révélant l'arsenal soigneusement rangé à l'intérieur. Lames aiguisées, dagues fines et tranchantes, p
ouvant son poids familier
erait bi
, la chasse
accrochées aux murs de pierre. L'aube teintait le ciel d'un ble
ue pièce, chaque détail avait été pensé pour allier agilité et protection. Elle n'était pas une
lle la fit se retou
le qui-vive, murmur
sur sa poitrine. Vêtue d'une tunique noire ajustée, un poignard glis
t ne jamais relâcher sa garde, répliqua Sé
ança dans la pièce, ses pas feutrés t
du conseil. Et devine quoi ? N
autant qu'un allié, un obstacle autant qu'un défi. Depuis son retou
jesté, lança Sélène en passant devant
nt en silence, les soldats croisaient leurs regards sans jamais s'attar
rent les grandes portes
carte du royaume déployée devant lui. Ses traits étaient
lui,
a seule présence. Ses yeux dorés se posèrent sur Sélène avec une inten
-il en guise de sal
t-elle avec la même
a et pointa la
décimées, aucune trace des assaillants. Ce n'est pl
iffla d
ns même pas qui t
ints marqués d'encre rouge. Tous si
faiblir avant de frapper au c
croisa
is l'intérieur, c'est qu'
dans celui de Sélèn
outint sa
e faisait q
nace invisible. Kael passa une main lasse sur son visage avant
, reprit-il d'une voix grave. Une no
sé. Sélène l'attrapa et parcourut rapidement l
nord... Nos éclaireurs ont ét
ndement sourd, ses muscles te
fie qu'ils s
s traits marqués par u
ant qu'ils ne prennen
ncha sur la carte, ses doigts effle
ours sur des routes secondaires, jamais
édiatement où elle
lignes de ravitaillement, à
expression indéchiffrable, av
gents. Et
n pesant les implications
l releva
atrouilles renforc
la tête, son
antage. Il nous faut autre c
, son esprit analysant
rons-les où
rds se tournè
, pointant un col montagneux s
r s'ils veulent continuer leur progressio
seconde avant de
ctionner. Mais nous av
ssa un sour
us avons déjà quelqu'
avant même qu'e
n place. Mais elle