Docteur charme - Tome II : Les tumultes du passé

ngés que je n’ai pas pris depuis le début de l’année, et cela me permet de ne reprendre mon travail que dans trois

le service des urgences a beaucoup intéressé le DRH – car il est apparemment

t s’est bien passé. Il vient de sortir de l’agence immobilière et me propose de s

vers le lieu indiqué, un souri

-dessus ma robe fluide rouge foncé. D’un regard, je repère mon amoureux as

i dépose un tendre baiser sur la bou

ment ! me lance Louka un large

iller aux urgences. Le manque d’effectif a bien joué en ma faveur, dis-je excitée par c

ns très rapidement ; j’ai joué de mon charme auprès de l

un costume gris foncé sur une chemise blanche et on dirait qu’il sort tout droit d’un magazine. L’éclat de ses yeux ambrés me sond

musé, Louka

bien que j’aie suffisamment d’imagination… Tu es adora

la carte des menus et je détourne les yeux de

pprend qu’il possède un grand garde-meuble où il a entreposé de nombreux effe

ropose-t-il, comme ça tu pourras choisi

particulièrement mal à l’aise, mais qu’il est n

ubles, ça nous fera des frais en moins, surtout avec la

e tentative vaine pou

vu ma dé

se penche vers moi

ouhaites sans penser à la dépense. D’ailleurs puisque tu parles d’argent, je souhaite partager

sté de mon appartement ne l’a pas trompé ce qui me contrarie et me gêne à la fois. En lisant mon journal intime, j’ai confié à Louka m

lus sur la liste, car j’ai la désagréable impression d

pose une main rassurante sur la mie

que tu n’as pas pu

grand-chose, ce n’est que

fixe un instant puis i

on… Est-ce que tu as dû faire face à des d

nds un peu

ge ? L’argent n’est pas i

vie de tous les jours… Anna, Vincent t’a bien donné la part q

mais je vois à son expression

e raclée ce sale type, d

e et explique d’

ma part, après tout je ne pouvais pas porter

il. Je ne peux pas croire que tu te blâmes

de me rendre responsable de ma stérilité. Pourtant, je n’ai pas envie que mo

abruti, je t’en prie. Tu es une jeune femme merveilleu

r que je relève les yeux vers lui. Il me sourit

ris et je songe avec tristesse que le temp

rection du métro, mais le silence qui

que Louka a r

bénéfices financiers de notre appartement. Pire encore, il a utilisé la fonction d’avoca

e me rends compte que mon retour à Paris a fait ressurgir mes doutes quant à mon estime de mo

C’est minable ce que Vincent a fait et honnêtement, j

e répond-il le regard empreint de fierté

rempés dans mon petit studio. Pendant que je sèche mes cheveux dans

e constate que le frigidaire est plein alors que je sors une bouteille de lait. Un joli b

je l’enlace en lui déposant u

contre sa bouche. J’ai beaucoup

me tellem

re, mes mains caressent ses

re le mien en me lança

vec toi, chuchote-t-il en passant ses mains

a tête puis de déposer des petits baisers dans le creux de son cou. Je remonte lentement vers

le jeune médecin tandis que sa main t

alement tout en déboutonnant la chemise de mon do

et je ne peux plus penser qu’à une seule chose : que cet homme magnifiq

ngue trace de délicieux sillons le long de mon dos et je devine qu’il s’est agenou

épaules et que son torse nu se presse contre mon dos répandant un peu plus de chaleur encore dans mon corps.

je en penchant ma tête en arrière pou

enture entre

mber à ses pieds, puis je passe ma main à l’intérieur de son caleçon pour caresser son sexe dressé. Louka s’empare de mes lèvres avec fougue et

e rassasier de toi, murmure-

ndre son pénis dans ma bouche et le caresser avec ma langue. Mes mouvements s’accentuent pe

, le regard ch

ntrainant sur le canapé où il

ent puis je ferme les yeux par la sen

tout contre

ment faire l’a

aules, ma joue frotte contre la sienne alors qu’il me fait monter et descendre inlassablement. Le plaisir monte en moi, la chaleur envahi

c’est bon. Je t’

si. Encor

à son tour. Il m’allonge brusquement sous lui en continuant à une cadence frénétique ses mouvements de va-et-vient.

riant vers le micro-ondes. J’enfile une nuisette et me love dans le canapé, alanguie comme une jeune mariée après sa n

thé, il me demande gentiment si je veux bien lui expliquer

ement. Toutes mes économies étaient passées dans l’achat de ce bien, et du coup je me suis retrouvée sans rien. Une fois le

ncle ne se sont ren

uis arrangée pour les rencontrer à leur domicile et qu’ils ne viennent pas dans mon minuscule studio. En fait, Isa m’a même emme

t la perfidie de Vincent comme à son habitude. Je vois bien qu’il se contient

onstate, ravie, que justem

joyeux à mon amoureux qui me sourit en retour

lus tard, j’ai raccroché et

s deux à diner chez eux demain soir. J

i, les cheveux encore

housiasme. Ce serait sans doute plus pratique si j’a

i demain soir tu sais, p

mon docteur charme qu’il a très bien compris que c’est compliqué

e et caresse tendrement la

amour, murmure-t-i