Le frisson de l'inattendu
bavardant avec excitation. C'était le premier jour de l'année universitaire, et malgré les éclats de rire et les salutations qui fus
préférant la compagnie des livres à celle des autres. Ce n'était pas qu'il n'aimait pas les gens, mais il ne savait sim
un coup d'œil autour de lui, observant les visages inconnus qui allaient sans doute devenir ses camarades
xan
Il ne savait pas si c'était la lumière du matin qui illuminait ses cheveux bruns, ou si c'était simplement son imagination qui la sublimait,
Bien sûr qu'une fille comme elle n'avait rien à voir avec lui. Elle appartenait à un monde où les interactions sociales étaient simples, où les rir
loin de lui, mais suffisamment pour qu'il ne risque pas un contact direct. Il sentit son cœur
pas venu ici pour rêver, il était venu pour étudier, pour réussir. Mais c'était plus fort que lui. I
r interrompit brutal
bienvenue dans ce
se disait. Pourtant, chaque fois qu'Alexandra bougeait, chaque foi
it. Étudier avait toujours été son refuge, son domaine d'excellence. Les concepts abordés lui semblaient fami
engageant des discussions animées. Carl, lui, resta assis, jetant un regard rapide autour de lui. Il aurait aimé
stylo, un groupe d'étudiants s'arrêta
uoi du prof ? demand
battement. Alexandra parlait à une de ses amies, mais ell
trict, répondit Alexandra en haus
tration le traverser. Pourquoi était-il incapable d'int
ersonne ne remarquerait sa gêne. M
, je peux m
tête. Alexandra le regard
un son immédiatement. Il se força à respire
oui, bi
i, croisant ses jambes av
lles Carl,
basourdi qu'elle co
emble l'année dernière, je me souviens,
nvahir. Alexandra se souvenait de lui
n cours, ça se voit que tu es séri
imidement l
re, répondit-il, sa voix
, puis le regarda
ter concentrée. Je crois que j'a
u'il échangeait avec elle, et pourtant, il avait l'impression
it à son habituelle place dans l'amphithéâtre, un peu à l'écart, juste assez pour voir sans être vu. Son rituel éta
xan
inant la pièce bien avant qu'elle ne prononce un mot. Elle riait souvent, un rire clair et naturel,
le, qu'il n'avait aucune chance avec elle, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Alexandra dégage
letait distraitement ses n
arl
isa celui d'Alexandra. Elle était à quelques mètres de lui, en trai
t pas à lui qu
au sourire éclatant, venait
r. Quelle idiote illusion avait-il nourrie, ne serait-c
longeant dans son écran co
i dramatique, murmur
ouvait pas lutter contre cette dou
gens se parlaient naturellement, où les relations se tis
oin de prendre l'air. Dans la cour de l'université, il trouva un banc tranqui
tard, un éclat de rire
n, gesticulant légèrement en racontant une anecdote. Son énergie était con
omme elle était. Elle n'avait jamais rien fait pour l'exclure. C'était lui
is aller l
ant s'était assis à côté de lui. Un garçon qu'il connaissait à
bredoui
n temps à la regarder. Tu
se cr
la regar
ssa un sour
ment, tu devrais tenter ta ch
ête, un sourire
s ? Regarde-la
cha ses
ndra. Et moi, je
çon haussa
? Ça ne veu
ussa un
ut tout
e contentant de hausser les
ce d'attendre, quelqu'un d
poids supplémentaire s'ajouta
nier regard ve
encore, i
e du regard avec un sourire énigmatique. Carl sentit une tension familière s'installer en lui. Il y avait toujours quelque chose d'inqui
une voix posée, nous allons approfondir le suje