Le Séducteur et Sa Compagne Rebelle
pit
e grandissait. C'était une évidence qu'elle ne pouvait ignorer. Jean-Luc n'était pas un homme que l'on ignorait. Il n'était pas fait pour ça. Il l'avait toujours regardée comme un défi, un
ion, un poids qu'il dépose sur ses épaules. Et pourtant, elle lutte. Elle se dit qu'elle ne cédera pas. Pas à lui. Pas à cet homme qui fait de la manipulation un art de vivr
Il le lui dit, sans détour, avec ce sourire satisfait qu'elle déteste. « Tu sais, Léa, plus tu résistes, plus je suis tenté. » Il ne parle même pas de la mission qu'il lui a donnée, ou des affaires qui devra
e doit être plus forte que ça. Mais il est là, constamment. Dans ses pensées. À chaque instant. Et plus elle l
sa présence qui vole tout. Il est là pour marquer son territoire, pour montrer qu'il a ce qu'il veut et qu'il ne lâchera rien. Et elle en est bien consciente. Chaque mot qu'il prononce semble peser une tonne. Il n'es
onfiant, comme s'il avait déjà gagné. Et, d'un mouvement lent, il l'attire dans un coin plus discret de la salle. Elle se tend. Elle est prête à répliquer. À lui dire de la lâcher. Mais il la fixe, intensément, comme s'il lisait dans ses pensées. Il lui sourit, presque doucement. «
ais elle porte. « Tu crois que tu peux m'échapper, mais tu es déjà mienne. » Il n'y a pas de d
ns consentement. Devant tout le monde. Un baiser qui est plus qu'un simple contact entre deux lèvres. C'est une déclaration. Une marque de domination. Il ne lui laisse aucune chance. Aucun moment pour respirer. Elle est l
l la marque de son empreinte, d'un geste qui dépasse les mots, un geste qui se joue de toute sa résistance. Et tout le monde autour d'eux le voit. Ils le savent. I
honte peut-être, mais aussi de désir. Il n'a pas volé sa victoire. Il a fait ce qu'il voulait faire. Il a pris ce qu'il voulait. Et elle, elle est là,
penses que ce baiser fait de toi mon maître ? » Elle le défie du regard. Elle essaie
ce que tu veux, Léa. Mais ce n'est pas toi qui choisis. » Il se tourne et s'éloigne, ses
, de dégoût, et une chaleur sourde qu'elle refuse d'admettre la traversent. Mais dans un coin d'elle-m