L'Alpha Maudit et la Femme Défendue
pit
lui donner un sentiment de chaleur. L'odeur était familière, celle du cuir et du bois, une odeur lourde et masculine qui flottait dans l'air. Tout était trop grand, trop austère. Elle se leva précipitamment, ses jambes encore faibles, e
c'était la voiture noire, la sensation d'être poursuivie, puis Léo, son intervention brusque, presqu
elle connaissait trop bien. Léo était là, de dos, les bras croisés, regardant à travers une fenêtre. Il tourna la tête lorsqu'il sentit sa présence.
nt, sans émotion. Ses yeux sombres,
qu'elle n'ait pu la contrôler. Elle n'était pas sûre de ce qu'elle attendait comme ré
esque détaché. Il ne semblait pas pre
une échappatoire, mais il se leva et s'ap
prise par sa déclaration. « Je
onnexion qu'elle ne comprenait pas, mais qu'elle sentait bien trop fort pour l'ignorer. Elle secoua la tête, repoussant cette idée,
. Tu es liée à moi. Ce n'est pas une simple coïncidence, n
ation, mais tout semblait flou, insensé. Elle cligna des yeux, secouant la tête une nouvelle fois
regarder. « Je ne sais pas exactement, » avoua-t-il, une rare touche de vulnérabilité dans sa voix qui la fit sursau
mot qu'il disait semblait creuser un peu plus profondément dans son esprit, semant des graines de
, sa voix un murmure tremblant. «
dans ses yeux, une profondeur qu'elle ne pouvait pas comprendre. « Je ne le sais pas, » r
al. Quelque chose en elle se rebellait à l'idée de l'accepter, mais une autre part d'elle, plus profonde, semblait vouloir y croire. Pourquoi ? Parce qu
prit tourbillonnant. "Je dois parti
omme si ses os eux-mêmes se tordaient. Elle s'arrêta net, la main sur la poitrine, haletante. Son cœur battait fort, trop fort, comme s'il était s
rcissant. « C'est ça. Le lien. Il ne te p
age marqués par la frustration. « Tu vois maintenant ? Tu fa
e désespoir dans les yeux. « Mais pourquoi
r de douleur. « Ce lien nous lie d'une manière que je ne peux pas expliquer. Et je te
otale, une rage sourde qui bouillonnait sous sa peau. Pourquoi, dans cette mer de confusion, se sentait-elle aussi a
. "Alors pourquoi ne me laissez-vous pas partir ? Si vous
ses yeux. Mais il la repoussa, l'expression à nouveau froide. « Parce que je suis l'
ondément, une rage et une frustration dévorantes en elle. « Alors quoi ? Vous
es talons, le dos rigide. « Je ne sais pas ce qui va se passer
ors pourquoi son cœur battait-il si fo