L'Ultime Vengeance
éunir les âmes en quête de rédemption et de justice, avait tracé les premières lignes d'un nouveau chapitre. Un chapitre où
brant ce nouveau talent qui avait enfin trouvé sa place. Mais au-delà des applaudissements et des sourires, une tension discrète persistait,
ait que chaque détail avait été minutieusement vérifié. Elle savait que le chemin serait semé d'embûches, que les menaces pourraient surgir de n'importe où. Mais elle était prête.
ng voyage, tandis que Camille Durand, investie d'un devoir inattendu, se préparait à affronter les défis qui se dressaient devant elle. Leurs destins, liés par le hasard et par une histoire commune, allai
laient les mener sur des chemins sinueux, où chaque rencontre, chaque conversation et chaque geste aurait le pouvoir de changer la donne. Et alors que les lumières de la ville commençaien
mes des Pistons, grouillait de journalistes, de photographes et de caméramans, tous venus assister à cet instant historique. Alors qu'il prenait place derrière le pupit
la nervosité qui s'emparait de lui. « C'est un honneur et un privilège d'être i
'autres demeuraient impassibles, leur regard fuyant le sien. Au fond de la salle, un homme au costume sombre, les traits dissimulés
z-vous être prêt à affronter les défis qui accompagnent la célébrité ? Certain
on lot de défis, » répondit-il avec sincérité, en scrutant le journaliste du regard. « Mais
e. Un autre reporter, avec un ton à peine voilé, demanda : « Monsieur Fontaine, comment réagire
ondit d'un sourire forcé : « Je ne peux pas prédire l'avenir, ma
es sourires dissimulés derrière des gestes anodins, tout semblait indiquer que derrière les applaudissements se cachaient des intentions moins honorables. Un journaliste en particulier, dont le visage
quait les valeurs qu'il comptait apporter à l'équipe, Jules ne pouvait s'empêcher de repenser à ce regard énigmatique, à cette voix sifflante et aux sous-entendus lancés dans l'ombr
uelque peu crispé, comme s'il se rendait compte que le succès ne venait pas sans ombres menaçantes. Quelques minutes après son départ, alors qu
ntra chez lui, l'esprit encore embrouillé par les événements de la journée. L'appartement moderne qu'il avait choisi pour démarrer cette nouvelle vie
terrompant le silence de son intérieur. Intrigué, Jules se dirigea vers l'entrée et, en ouvrant la porte, découvrit une enveloppe au papier épais, soign
légèrement lorsqu'il la prit en main, hésitant entre l'envie de la déchirer immédiatement et celle de lire d'abord l'adresse manuscrite. Le cachet ne
t la feuille. Les mots, écrits à l'encre noire sur un fond pâle, sem
ure de ses pensées. « Ton succès est une provocation, une lumière qui attire les tén
on échine tandis qu'il relisait chaque mot, les phrases résonnant comme autant d'avertissements venus de l'ombre. Ses pensées se bousculai
otion. Son téléphone vibra sur la table, et il décrocha pour entendre la voix d
rs en ligne ? » demand
'une voix tremblante : « Marc, je viens de recevoir
« Reste calme, expliqu
ur. Le message dit que mon succès attire des enne
es circule souvent dans ce milieu, surtout quand les espoirs de certains s
a quelque chose de plus sombre derrière tout ça. » Marc ne put que confirmer : «
des signes subtils d'hostilité. Le journaliste au regard fuyant, les questions ambiguës, et ce sourire de l'homme en costume sombre... Tout semblait avoir u
éternité anxiogène. Jules se leva et se dirigea vers la fenêtre, scrutant la nuit noire qui enveloppait la ville. Les lumières scinti
les ténèbres. » Le message le hantait. Qui pouvait bien se sentir menacé par son ascension ? Était-ce un ancien rival du mond
s vestiaires, certains murmuraient que la célébrité pouvait attirer des ennemis invisibles, prêts à tout pour abattre ceux qui osaient briller trop fort. Ce soir, il
iration se fit plus rapide à mesure qu'il se perdait dans ses pensées, et la pièce, jusque-là familière, paraissait soudain étrangement oppressante.
un n'était pas entré par erreur. La porte s'ouvrit en grinçant, mais il ne vit rien d'autre qu'une ombre mouvante dans le hall vide. Un instant plus tard, il se dit que son imagination devait lu