L'Alpha et Sa Compagne Rebelle
pit
tement, ses muscles tendus, chaque pas calculé pour ne pas briser l'équilibre fragile de sa fuite. Son sac ét
renforçait le lien qu'elle refusait d'accepter. Il était là, invisible, insidieux, enroulé autour de s
ispersées un peu partout. Pourtant, elle connaissait les failles. Elle avait grandi ici. Elle savait où poser le pi
indrait la zone où la forêt se prolongeait au-delà des limites de la meute. Là o
e brisa l'illu
urds.
rata un b
e. Une masse de muscles et de puissance brute. L'odeur de l'
dr
courir, mais elle savait
it basse, presque douce, mais il n'y avait pas de te
ol, refusant de reculer. « Je n
s un avertissement qu'une véritable express
ns ton jeu. Tu crois que tu peux me retenir ? Que
la tête vers lui. « Je n'ai pas besoin de chaînes, Sarah. Tu ressens ce lien autant q
le le détesta pour ça. « Tu ne
il. « Mais tu n
d'elle, qu'il se trompait. Mais il y avait cette fichue lueur da
qua son passage sans effort. Elle c
s pas ça
nnait comme un
lui avec une rapidité qu'il ne sembla pas anticiper. Son coup le heurta à la mâchoire, p
silence, puis revint à elle, un
aime
îna un deuxième coup, visant cette fois son torse.
'arbre avant qu'elle ne c
sente la chaleur irradiant de lui. Pas de menace, pas de violence. Jus
t-il. « Très bien. Mais tu ferai
se dégager, mais sa pr
s pas le
, » la coupa-t-il. « Et toi, que tu l
léra. « Je n'ai ja
l'a fait
it qu'il disait vrai. Ce lien existait, il vivai
refusait
va. Une infime seconde où son regard se posa sur ses lèvres entrou
fra
qui le fit reculer d'un pas. Elle en profita po
était pl
uveau contre l'arbre, ses mains emprisonn
, il ne so
-il contre sa peau. « Mais
tant son cœur cogn
op peu pour qu'elle puisse ignorer la chaleur qui émanai
tten
e a
force, d
u dan
ce se pr
sion, s'éloignant juste assez pour
vait que c'é
e boug
? » demanda-t-il, sa voi
la diffi
iras pas, »
ait le co
estèrent coincé