Une Seconde Chance Pour l'Amour

reau, et alors qu'elle explorait la pièce avec curiosité, il se dirigea vers la f

n se retournant finalement vers elle, les mains da

sant les jambes. Elle le regarda intenséme

qu'on pourrait commencer par toi, qui tu es vraiment. Pas

lement elle savait... Si seulement elle savait que le « vrai lui »

juste le souvenir de la jeune fille insouciante et joyeuse qu'il avait connue. Non, c'était bien plus que ça. La Lily qu'il avait retrouvée n'était plus une enfant. C'éta

lle, à ce moment où Lily était entrée dans son bureau, sourire radieux aux lèvres. Elle avait changé, bien sûr, mais quelque chose en elle restait terriblement famili

ublé, c'était cette question. Cette simple question qui avait réso

iment heure

t, et il s'en voulait d'avoir réagi comme il

êt à donner. Elle n'avait pas posé la question à la légère. Elle voulait savoir. Elle voulait comprendre si cet homme, dev

seul, plus perdu que jamais ? Que derrière les costumes sur mesure, les voitures de luxe et les suc

tourna la tête et vit Lily, debout dans l'embrasure d

ance, j'espère que ça

l masqua ses émotions sous un masque de neutralité. Il se r

ntre, » répondit-il d'une voix

de se poser sur lui. Elle portait une tenue simple mais élégante, sa démarche était fluide, pleine de cette aisance qu'il

out était trop poli, trop superficiel, et Jin détestait ça. Il n'avait jamais voul

r demander, s'asseyant sur le fauteuil face à son bur

l savait où cette conversation se dirigeait, et

mais j'aime ça, » dit-il, tentant de se réfugier dans les

le le jaugeait. Puis, elle se pencha légèreme

Tu sais, je te connais depuis longtemps. Et j'

e fois, avec cette franchise désarmante. Mais il ne pouvait pas se permettre d

épondit-il en détournant les yeux, fixant le pa

ouviens d'un Jin différent. Celui que je connaissais avant..

lui, de ce qu'il était devenu. Et elle avait raison. Il avait changé. Il s'était enfermé dans ce rôle de l'homme d'affair

d'une voix plus dure qu'il ne l'avait voulu. Il se maudit immé

lentement du fauteuil. « C'est ça, ta réponse ? Les gens chan

lui avouer qu'il n'avait jamais cessé de penser à elle, qu'elle avait été la seule constante dans son e