La Prophétie de l'Alpha et Sa Compagne Maudite

le puisse l'éteindre. Chaque regard de Kael, chaque mouvement de son corps, semblait l'

gé sur cette attraction inexplicable. Le lien qu'elle ressentait pour lui ne cessait de croître, chaque minute plus intense que la précédente, chaque souffle plus lourd à respirer. Il y avait des jours où elle se sen

avérée être une chaîne plus solide que n'importe quel métal. Elle n'était plus libre. Ni physiquement, ni mentalement. L'Alpha l'avait invitée à vivre au se

nt que la malédiction ne se réalise, écrasant leur amour sous le poids de l'inévitabilité. Mais chaque fois qu'elle pensa à partir, une pensée, un sentiment l'arrêta. L'idée de vivre sans Kael la par

s il ne réagit pas. Il la regarda simplement, son regard perçant comme un rayon de lumière frappant une surface d'eau calme. Il n'avait pas besoi

l d'une voix grave, presque d

le, mais la vérité était qu'elle était plus qu'agitée. Elle était e

ste... ce lieu. Il est si gra

de dangereux dans la tranquillité de ses mouvements, comme un prédateur qui attendait le momen

n sécurité ici. Tant que tu restes av

ui la mettait en danger. Son cœur battait trop vite dans sa poitrine. Il se faisait de plus en plus difficile de ne pas céder à la tentation de le toucher, de l'embrasser. Mais

uelque chose en elle s'effondra. La chaleur de sa main contre sa peau, l'odeur de sa présence, tout cela l'envahit d'un

? demanda-t-il d'une voix qui ne

e de lui mentir. Elle ét

e. Mais je ne sais pas où aller. Où

l'arrêter. Il savait qu'elle était perdue. Ils l'étaient tous les deux, pris dans cette toi

Fais-moi confiance. Je t'offrira

elques centimètres du sien. Leurs souffles se mêlaient, et penda

sait l'harmonie qu'ils avaient créée. Un bruit sourd, un cri lointain, déchira l'atmosph

nt. Kael, lui, réagit instantanément. Ses yeux se

-t-il, sa voix froid

sombres dans l'ombre, courant, bousculant les serviteurs du château. L'atmosphère était devenue électrique, chargée d'une menace invisible

ne puisse réagir, Kael apparut comme un fauve, rapide et sans pitié. Il s'élança sur l'assassin, le frappant avec une violence inouïe, ses crocs brisés au co

arrêta pas là. Il se tourna vers elle, les mains c

e. Même ici, même avec tout ce que je fais pour te pr

ité se dressait devant elle, plus évidente que jamais. Elle ne