Sous la lune du prince

ches, sifflant une mélodie sinistre alors que la lune voilée jetait une lumière pâle sur le sol recouvert de mousse. Michael avançait à pas feutrés, chaque mus

lles des loups, différente de celle de la te

s'aventuraient pas dans ces bois, pas à cette heure

'obscurité. Un

effréné. Les cris étaient proches. Il capta une autre odeur, plus agressive, plus sauvage. Des cha

tre un arbre. Une femme. Elle était en sueur, son souffle court, et son regard affolé passait de

és par la peur qu'ils sentaient é

agit sans

l lui brisa la nuque d'un geste sec. Les deux autres reculèrent, hésitants. Michael laissa son instinct prendre l

r. Ils détalèrent sans demander leur

ence r

de près, il remarqua la douceur de sa peau sous la lumière de la lune, la courbe délicate de son visage. Ses cheveux bruns tombaient en m

a-t-il enfin, br

mme si elle venait seulement

je crois, bal

a les so

e que tu f

'elle, comme si elle s'attendait à v

e me suis

à cette réponse. Personne ne se pe

répéta-t-il

tit et hoc

ec des amis... je me suis éloig

nt la tête comme pour chas

este fine, des baskets. Rien qui la

nt tes

ourna le

e sais

se. Il le sentait. M

s bles

ins tremblantes, se

rien de

ha la

que tu sor

si elle hésitait à l

i es

s'était battu avec une force surhumaine, et maintenant il

répondit-il

it-elle, h

arder. Il aurait dû la raccompagner hors de la forêt et oublier jusqu'à son existence. Mai

Je vais t

, puis hoch

rent en silence, seuls le bruissement des feuilles et le cri

-t-elle après qu

légèrement

ur q

m'avoir

sa un s

llais te laisser t

re nerveux

enfin... c'étai

répond

sière de la forêt. De là, elle

que tu peux r

e, mais il sentit

vas b

jetant un regard vers

es... choses v

un instant ava

ce s

le ne comprenne probablement pas

un geste rapide, elle po

encore,

nsation sur sa peau. Une chaleur, un frisson, une

adressa un dernier regard,

mobile, la regar

tir, lui aussi.

t qu'il ne le

reve

it dû l'oublier, tourner la page, mais chaque nuit, il se retrouvait à errer près de la lisière de la forêt

n soir, il

eux fixés sur l'obscurité de la forêt. Elle ne sursauta

dit-elle avec un

aussa un

pas qu'on ava

ssa les

j'avais l'intuition

gard. Elle avait changé depuis leur premièr

geuse de reve

ssa un s

is pas seu

sourire. Cette humaine étai

arbres. Paula lui raconta sa vie, ses études, ses rêves de voyages. Il l'écoutait ave

tés interdites, mais des souvenirs d'enfance, de son

res se mult

evenait. Chaque soi

'expliquer, quelque ch

ssait parfois dans l'ombre sans un bruit. Son regard semblait voir des choses q

her de poser la question qui

u vraiment

cœur rater u

eux-tu

, son regard

e caches quelque c

regard, cherc

que tu ne devrais

issa le

urqu

e monde n'est

nça les

i envie qu'

ffle se

épondre, un bruit de pa

rna aussitôt, se

cœur se

eute le fixait, les yeux brillants d

jetait des ombres vacillantes sur les visages des anciens, leurs regards sombres fixés sur Michael. Il se tenait debout devant

iens, s'éclaircit la gorge

union en urgence, Michae

curieux, d'autres déjà méfiants. Il prit une profonde inspiration avan

is me m

Les regards s'échangèrent, l'incompréhensio

onça les

mar

hocha

Ou

ec q

a les p

ec P

on fut in

nt dans un tumulte de protestations. Certains se levèrent, d'autr

HUMA

insulte à

ises no

le face à la tempête.

ien. Je fais ce

la table, impo

toi d'en décide

nta son regard per

ié aux traditions. Une union avec une h

t la colère m

imer une femme ser

emme, c'est une étra

appant la table à son tour.

n Alpha n'avait jamais osé dire un

lentement, le

tu poursuis cette folie, tu pe

int son rega

accepter mon choix, alors

e était

tte nuit ne marquait