Une Nuit dans l'Ombre

RT

me dissimuler. Je me penche légèrement pour regarder der

que je reviens ici aprè

nspirations… Soudain, une

le de

i vu depuis

e le regarde s'élo

faisait

son visage. Je retiens mon souffle et si j'avais eu le moin

aits. Sa mâchoire est forte, ses lèvres ont une ligne sensuelle, et ses pommettes sont hautes et emplies de noblesse. On aurait pu c

t la carrure d’un guerrier, l’inconnu me donne l’impression que l

a une habitude en venant

s ici, pour… m’é

peut autant tourment

m si vous

plus, peut-être

j’en

: do

oi être auss

vous savoir à pro

éjà vot

autre

ites partis d

n peut

t-ce une r

tes vou

ant avant de tourner le

quoi cette

uste co

:

:

estion. Je suis de plus en plus perdu dans cette histoire. Au début je cherchais un moyen d’en savo

er de surprise, mais lui reste calm

brousser chemin puisqu'il

onne de nouveau et un éclair déchire les ci

’y a pas assez de place pour m’abriter tout entiè

devenir plus dévastatrice. Je me mets automatiquement

rempée par la pluie et une br

er. En luttant contre le vent, je me mets à grimp

u lieu du froid de la nuit, je rencontre quelque chose de chaud, qu

in mas

les yeux et malgré la pluie aveuglante, je

itrine, et j’ai l’impression que ma peau brûle de partout. Je ne

ou

bien en sécurité contre sa poitrine. Il est pressé contre moi, et c’est enivrant.

tient toujours dans ses bras. Il me relâche de son emprise pour me permettre de mieux respirer. Je le vo

us en aller, qu

un compte et me garde serrée dans ses bras tout e

tremblante) : où

ée malgré les efforts qu'

haud et en sécurité. Vou

a bien si vo

érober à son emprise. Il pousse un soupir et press

n prie, posez-

etenir son

us avez

l me terrifie, il fait deu

euh

du tonnerre, je sens alors qu’il ces

sache où il p

les collines qui se trouvent à l’est de mon village. Il y

il faire

nxiété qu’à cause de la vitesse à laquelle il courai

mment de ma rêverie, et je vois que nous étions déjà arr

et ma respiration s'améliore quand je me penche la tête en arrière pour c

trange sensation qui est en train de se diffuser au plus profond de mon être, une source

amenée ici ? Que vou

uant de le repousser. Sa chair est dure sous mes

r qu'il m'avait relâchée et

ux que nous allions nous s

je ne puisse demander pourquoi, mon regard tombe sur le bas

on énorme verge dur se dresse

cule à mon tour, mais i

s est stoppée par l’écorce humide de pierre auquel je me retrouve ad

ses mains resserrent leur étau sur m

’ayez

t-ce que vou

pas si c’est de peur ou de froid

va bien. Entrons

s sur mon épaule, il m'attire contr

à un raz de marée. La terreur m'a glacé, mais il me guide déjà vers l’entrée. Dès que

. Je me raidis immédiatement et le repousse, mais il continue de me maintenir en douceur, sans

en, vous n’avez

lors que je me débats pour échapper à son emprise. Sentir mo

t cesse de me débattre ce qui lui permet de

m’appell

J'avale ma salive, ma go

nt vous ap

les lèvres a

m’appel

, vous habitez pr

e sans cesser d

yaume est à

les cheveux) : D’accord, c’est c

tête en clig

i:

e la curiosité et un so

Tout à coup, l’air doux à l’intérieur de notre abri me semble brûlant, je ne sais pas avec quelle audace, j

s ses yeux s’assombrirent et il semble alo

os regards se croisent. Ses pupilles sont dilatée, lentement

par la grosse verge en érectio

en allait de même chez les humains. Je savais aussi que je ne devais m'accoupler qu’avec mon mari. C’est une règle que j'ai toujours eu

baisse la tête pour m’embrasser j'oublie peur et tr

ent le dessus, sa langue pénètre dans ma bouche et sa main serre plus fort mes cheveux si bien que la sensation que j'ai au plus profond de moi s’intensifie et se transforme en une étrange et intense pulsation. Je sens que mes seins sont gonflés

pour agripper ses larges épaules. Quand il bouge sous moi et me serre plus fort dans ses bras, mon ardeur s'accroît. Sous me

emière fois fait toujours m

s sous ma peau. Tout en moi désire les caresses debHamid. Je suis consumée de

vantage, Hamid m’allonge sur le sol e

ffle puis il est sur moi et son grand corps m’empêche de voir la tempête qui continue

robe et donne des petits poussés à mes tétons raidis tout en s’appuyant sur les coudes. En même temps, il m'ouvre les jambes du genou afin de se glisser entre elles et je sens sa cuisses s’appuyer sur mon sexe en appuyant à un endroit de

là, jouis pou

core. Je sens la chaleur de son haleine dans mon cou, je suis assourdie par les battements de mon cœur, je suis aveuglée et la vibration monte encore en

plus profond de mon être. Mes muscles intimes se contractent, je replie les orteils. Le souffle coupé, je relè

r aussi. Une fois debout, je vacille sur mes jambes tremblantes, alors il m'enlève la tenue et la je