LA SERVANTE ET LE CHEF DE LA MAFIA
nt pas vraiment forts. Ils étaient moins nombreux et leurs tactiques n'étaient pas
yeux. Le fait que je puisse les tuer d'un s
ia, mais de moi. Ma mauvaise humeur est tristement célèbre dans le monde e
Dracul, ils ne semblent ni affligés ni inquiets. En
esse ou de peur, il est exécuté immédiatement. C'est peut-être dur, mais c'est ma putain de mafia et la dernière chose do
ent et je quitte les donjons, laissant mes h
je méprise ces rencontres. Je n'ai jamais aimé rencontrer les seigneurs qui non seulement sont en dessous de moi, mais qui portent leurs titres comme s'il s'agiss
alles de bal où les membres les plus élitistes de ma mafia ou les
d'argent. Les quelques personnes qui trouvent le courage de venir me parler sont les premières à être rétrograd
ce serait d'entendre leur dernier souffle s'échapper de leur bouche. Dès la sec
me fous des gens sous ma « règle ». Je ne me soucie que de ma mafia et à moins que cela ne me
nes de confiance, soit un riche idiot en état de mort céré
ennemis. Depuis lors, ma putain de maison ressemble à un château médiéval. Même si la compagnie supplémentaire est ennuyeuse, elle s'est avérée utile
sur mon bras. Je me retourne et soupir
le de
nt sa main manucurée sur mon é
pas d'humeur,
ernière chose dont j'ai besoin, c'
e n'est pas décourag
te calmer ? demande-
lle de bal. Je marche jusqu'à l'ascenseur et
n ascenseur privé rien que pour moi. Cela peut sembler arrogant, mais cela leur rappelle qui je su
it prendre plus de responsabilités pour le pays que de simplement établir l
er étage sur dix. Je jette mon mante
ncore des idées pour se débarrasser de moi. Peu importe combien de fois ils ont été abattus, ils pensent toujours qu'ils ont la fierté de se relever. Norma
cinq ans, j'ai toujours eu un sentiment de paranoïa autour de moi et je m'assure de regarder à travers toute ma maison avant de m'endormi
mon attention. Une porte ouverte. La
. Je me précipite vers la porte et l'ouvre à grands coups de pied. Je positionne mon arme e
se sur le sol. Non. Pas
y a-t-il une bonn