La Compagne Rebelle du Roi Maudit
raint, où l'ombre du pouvoir se mêle aux cr
lueur vacillante des torches, résonnaient du murmure discret des serviteurs, tandis qu'une atmosphère lourde de présages enveloppait chaque r
ieure du souverain, Dante prit la parole d'une voix basse et autoritaire. « Nyx, » déclara-t-il, les yeux d'un
ssemblée. Les murmures se turent instantanément, tandis que les regards se tournaient vers
intensité qui défiait la fatalité des lois anciennes. « Vous ne m'enchaînerez pas, Dante, » lança-t-elle d'une voix ferme et tremblante à la fois, trahissant à la f
mirent en mouvement dans un ballet silencieux. Des guerriers royaux en armure sombre surgirent des ombres, leurs pas résonnant sur les dalles froides
e mouvement des gardes, elle se précipita vers une porte latérale qui menait aux jardins du palais. Dans un souffle de rébellion, elle s'é
des guerriers, sa voix coup
pierre froids semblant vouloir l'engloutir dans leur silence. Elle sentait son esprit divaguant entre le désir de liberté et la crainte d'être à jamais
de corridors secrets, une main ferme se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement, prête à se défendre, mais s
x d'une voix rauque. « Le roi l'a décrété,
-t-elle, la voix vibrante d'une détermination qui refusait de plier. Mais les chaînes invisibles de l'autorité s
spoir se mêlaient à la douleur physique de chaque prise ferme sur ses bras. Malgré tout, dans l'ombre de cette
ais ses paroles furent étouffées par le cliquetis métallique des armes. Les gardes, im
re. Les murmures de la foule se transformaient en un grondement sourd, et l'air était chargé d'un suspense presque palpable. Les prêtresses du Destin avaie
nant dans la vaste salle avec une autorité glaciale. « Mais sache que ton sort est d
Les regards se portèrent sur Nyx, dont les yeux brillaient de colère contenue et de défi silencieux. Elle se
tué seulement par le martèlement de son cœur qui semblait vouloir se libérer de cette captivité imposée. Dans ce moment suspendu, une voix s'éle
yeux d'un bleu perçant, s'avança, le visage empreint d'un sérieux martial. « Si tu penses être plus qu'une simple captive,
ver en elle. « Très bien, » déclara-t-elle d'une voix déterminée, se redressant malgré les chaînes qui semblaient vouloir la retenir. « Je
fi. « Alors, prépare-toi, » répliqua-t-il, le ton empreint d'une assurance de gu
e arène improvisée, où le destin de Nyx se jouerait en un affrontement de force et de volonté. Les
ute la retenue possible et se mit en position. Ses muscles, forgés par des années de combats clandestins, se tendirent avec une grâce féroce, et son regard, affûté par la rébellion, se fi
duel ne sera pas seulement un test de
loureux. « Je ne reculerai devant rien, » répondit-elle d'une voix vibrante
ant habileté et détermination. Chaque coup de lames se faisait écho dans la salle, créant une symphonie de cliquetis métalliques et de cris étouffés. Nyx se déplaçait avec une ag
u'ils échangeaient une série de coups rapides,
nts de défi, « tu devrais apprendre à ne pa
ient à l'excitation dans l'air, créant une atmosphère où le temps semblait suspendu entre chaque mouvement, chaque parole pron
Le regard du général, initialement empreint d'un scepticisme mesuré, s'adoucit peu à peu en voyant la détermination inébranlab
é, » admit le général, le souffle court apr
té de ne jamais se laisser dominer. Le duel, loin d'être une simple confrontation physiq
ns l'énergie brute et sauvage qui émanait de Nyx. Chaque coup porté était une déclaration, chaque parade un cri silencieux de révol
t à désarmer son adversaire d'un mouvement vif et imprévisible. L'arme tomba au sol avec un bruit sourd,
aire avec un mélange de respect et de défi. Sa poitrine se soulevait avec la force d'un cœur battant pour sa liber
uce, presque hypnotique, « ce n'est pas seulement une question de force
affrontement, et même Dante, du haut de son trône, ne put qu'observer en silence, partagé
e serait jamais enchaînée par les lois d'un destin imposé. Le duel était terminé,
la liberté se faisait sentir, marquant à jamais le passage d'une jeune femme qui, bien que piégée au