Le milliardaire et la promesse cachée
Une Rencont
sses et le murmure des conversations formaient une mélodie familière pour Zoé Lemoine, qui jonglait entre les tables avec une habileté acqu
table quatre ! lança son c
en attrapant un plateau
vait brusquement. Une journée ordinaire, pensa-t-elle avec un soupir. Une
porte tinta, annonçant l'arrivée d'un nouveau client. Zoé ne leva m
. Grand, élégant dans un costume parfaitement taillé, il dégageait une aura magnétique qui fit se retourner plusieurs
ndre qu'on l'accueille. Zoé, absorbée par son travail, ne remarq
re la commande
e Lucas. Une étrange tension s'installa, mais
pprochant avec son carnet.
ué par l'assurance tranquille qu'elle
o, répondit-
ien
volte-face, mais elle sent
-
elle posa la commande a
-là ? murmura-t-e
on impressionné. Le type qui possède l
ça les s
alo
est une lég
elle, un client restait un cl
-
lus tard, elle rev
café,
eleva l
Me
généreux sur la ta
accepter ça, dit-
a un sourc
urqu
fais simpleme
tant, déconcerté
différente,
èrement mais g
ça comme u
issa un so
s dev
service, mais une part d'elle restait troublée. Elle n'était pas du genre à se la
nt autour de cette serveuse qui avait osé refuser son argent. E
-
rencontre allait bouleverser son existence. Et Lucas, malgré sa froideur appare
n destin inattendu ve
2 : Premi
es pans de son manteau usé autour d'elle en accélérant le pas. La journée avait été longue, et ses pieds lui lançaient des signau
t, murmura-t-elle pour s
son regard, sa façon de la fixer comme si elle était une énigme à déchiffrer
se laisser perturber par un homme qui a
-
sine, un téléphone collé à l'oreille. Les vitres teintées du b
emain matin, dit-il d'un to
scenseur privatif qui menait directement à son bureau. Le
e remarquable en apparence, mais sa franchise l'avait désarmé. Les femmes dans son cercle
ourire en repensa
murmura-t-il
-
au café à l'aube, les traits
orme, lui lança Julie
épondit Zoé en enf
cause du beau cli
ssa un
oi tu p
clata d
que toutes les femmes rêvent d'épouser, t'a regardée
ula de
dél
enre de gars, ça t'embarque dans d
répondre et se conc
-
rrête devant le café. Zoé, qui servait une table près de la vitrine,
d'un costume encore plus élégant. Les conversation
le libre. Zoé prit une grande inspirat
it-elle d'un
-il, son regard cap
esso, je
issa un
vez bonn
t mon
igna, essayant d'ignorer la ch
lus tard, elle rev
Vo
asse mais ne la lâ
s poser une q
il, surprise qu'il c
mmen
t-il en désign
voulez-vou
tasse sur
oi êtes-
des yeux,
ard
Vous pourriez faire bien
les bras, p
ensé vouloir
pondit-il calmement.
un instant, p
ujours des choix facile
réfléchir à
arfois, il suffit d
ça les s
ça vous i
ntenta d
'intrigu
ur répliquer, mais un cl
elle avant de s'élo
-
comptoir, Julie lui
lor
ors
e clairement,
soup
e, mais je n'ai pas en
ussa les
, mais on parie qu'i
x, tentant de mas
pour son espresso, répondit-
tu le
mme comme lui se montrait-il aussi curieux à son sujet ? Elle ne voyait aucune raison valable
n garde. Ce n'était peut-être que le début d'une histoir
-
éunions et de négociations. Pourtant, son esprit retournait sans ce
ans son bureau spacieux, son associ
ton monde ? lança-t-il en s'a
va à peine
-ce que
Dis-moi, depuis quand tu fréq
lissa l
nt tu s
éclata
part ? Une de mes sources m'a parlé de toi, planté dans un café du centre-v
inça le
n'est
ua Maxime, amusé. T'as l'
est dif
ussa les
nre d'histoire fini
n stylo avec
cett
xa, surpris
hance, vieux. Tu v
Lucas planait toujours au-dessus de ses pensées. Elle savait que leur renc
emblait déjà avoir pris