Sous la lune du destin
: La marc
familiers des créatures nocturnes avaient disparu, remplacés par un silence oppressant, presque palpa
haren gardait une distance prudente, surveillant les ombres mouvantes. Depuis leur rencontre avec l'e
vant l'aube, murmura Tharen.
permettre de s'arrêter. Kael et ses hommes étaient sûrement toujours à leur poursuite, sans compter les Ombr
s reviendront ? demanda-t
ement. Il sembla peser ses mots
e une fois, c'est qu'elles te considèrent comme une menace. Et
te guerre ancestrale entre la Déesse et les forces obscures. Pourtant, à chaque pas q
le presque pour elle-même. Je
un regard gr
e jour où tu comprendras ce qu
odeur soudaine l'arrêta net. Une
? demanda-t-e
ête, les nari
derriè
re de la lune. Ce qu'ils découvrirent arracha un hoquet à Liora. Trois corps gisaient sur le sol, leurs flancs
t près des corps,
ute de Kael,
e boule se form
s Om
éantes. C'est l'œuvre d'un loup, mais pas Kael.
de Liora. Si ce n'était pas
une voix tendue. Ce loup pourra
a se retourna brusquement et aperçut une silhouette massive émerger des ombres. Le loup était gigantesque, ses yeux rou
rmura-t-elle,
e pas, or
ntait la tension vibrer dans l'air. Chaque fibre de son êt
uchota Tharen. Quand je te l
t t
pas. Fais ce
visant Tharen. Ce dernier se métamorphosa en une fraction de seconde, sa silhouette humaine laissant place à celle d'un lou
Tharen et se tourna vers elle, les yeux injectés de sang. La terr
! cria Tharen en r
libérer. Ses doigts picotèrent, et une lumière argentée jaillit de son corps, frappant le loup de pl
ra regarda ses
fait ça... ?
dressa, le s
ée à la Déesse, bien plus pro
vant de disparaître dans la forêt, lais
ren. Et la prochaine fo
erra le
l faudra
s pas. Mais une chose était claire pour Liora : elle ne pouvait plus fuir.