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Cicatrices d'amour

Chapitre 5 CHAPITRE 5

Nombre de mots : 1218    |    Mis à jour : 31/01/2025

interrompant leur échange. Un

ranger, mais la réu

comme une bouée de sauvetage. «

tration et de tristesse. Mais une chose était certaine : elle ne co

urdie par une nuit agitée. Comme chaque matin, elle attrapa son téléphone pour vérifier ses messages. Mais cette fois, ce

lle et Nathan côte à côte lors du gala de la semaine précédente. Les mots en g

n Declan aperçu avec une m

ment où leurs regards s'étaient croisés avec une int

murmura pour elle-mêm

eur collaboration professionnelle pour tisser une toile de rumeurs enflammées. Une photo d'eux quittant le bureau de Nathan, un extr

ra. Un appel entr

cha avec un soupir exas

ton amusé, avant de devenir plus sérieux.

lle. « Comment auraient-il

ut. Je suis désolé, Jeanne. C'es

r. « Nathan, ma vie privée vient d'être piétin

ute, je comprends que tu sois furieuse. Mais laisse-moi gérer ça. Je vais

e coincée dans ce chaos parce que j'ai eu la bri

ue regard qu'elle croisait semblait porter une teinte de curiosité ou de jugement. L

able avec une tasse de café à la main. Il leva les yeux lorsqu'elle e

doucement, mais elle leva

arler de ça. Concentrons

d de lui, il savait que ce n'était qu'une question de

t. Nathan répondit, et une voix féminine annonça : « Monsieur Declan, des jou

. « Des journal

ourcils. « Je m'en

e. « Si tu sors maintenant, tu va

veux qu'on les laisse faire ? Qu'on leur donne

ait raison, mais incapable de supporter l

vint, visiblement agacé. « Ils ne par

ux, frustrée. « Et maintenant ? On les

face d'elle. « Écoute, j'ai une idée. Ça ne te

bras, méfiante.

jouait le

la les yeux.

ils se calment. Une déclaration simple, m

olument pas. Je ne vais pas

rois vraiment qu'ils vont s'arrêter autrement ? Jeanne, je ne

aration officielle fut publiée, affirmant que leur relation était strictement professi

chez elle, des collègues de l'université murmuraient dans son dos, et même ses p

point de rentrer chez elle, Nathan

e, atte

fatiguée. « Quoi e

er avec moi

un sourcil.

-t-il. « Pas de travail, pas d

disant qu'il valait mieux mettre les ch

ds indiscrets. Nathan tenta de détendre l'atmosphère avec des

han ? » finit-elle par demander

visiblement pris de c

oximité. Pourquoi ne pas simple

. « Parce que je tiens à toi, Jeanne. Et parce qu

elle par ses mots. Mais elle n'était pa

ue jazz en fond rendaient l'endroit idéal pour un dîner en tête-à-tête, mais elle se sentait tout sauf détendue. Nathan, en face d'elle, était impeccableme

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