Cicatrices d'amour
interrompant leur échange. Un
ranger, mais la réu
comme une bouée de sauvetage. «
tration et de tristesse. Mais une chose était certaine : elle ne co
urdie par une nuit agitée. Comme chaque matin, elle attrapa son téléphone pour vérifier ses messages. Mais cette fois, ce
lle et Nathan côte à côte lors du gala de la semaine précédente. Les mots en g
n Declan aperçu avec une m
ment où leurs regards s'étaient croisés avec une int
murmura pour elle-mêm
eur collaboration professionnelle pour tisser une toile de rumeurs enflammées. Une photo d'eux quittant le bureau de Nathan, un extr
ra. Un appel entr
cha avec un soupir exas
ton amusé, avant de devenir plus sérieux.
lle. « Comment auraient-il
ut. Je suis désolé, Jeanne. C'es
r. « Nathan, ma vie privée vient d'être piétin
ute, je comprends que tu sois furieuse. Mais laisse-moi gérer ça. Je vais
e coincée dans ce chaos parce que j'ai eu la bri
ue regard qu'elle croisait semblait porter une teinte de curiosité ou de jugement. L
able avec une tasse de café à la main. Il leva les yeux lorsqu'elle e
doucement, mais elle leva
arler de ça. Concentrons
d de lui, il savait que ce n'était qu'une question de
t. Nathan répondit, et une voix féminine annonça : « Monsieur Declan, des jou
. « Des journal
ourcils. « Je m'en
e. « Si tu sors maintenant, tu va
veux qu'on les laisse faire ? Qu'on leur donne
ait raison, mais incapable de supporter l
vint, visiblement agacé. « Ils ne par
ux, frustrée. « Et maintenant ? On les
face d'elle. « Écoute, j'ai une idée. Ça ne te
bras, méfiante.
jouait le
la les yeux.
ils se calment. Une déclaration simple, m
olument pas. Je ne vais pas
rois vraiment qu'ils vont s'arrêter autrement ? Jeanne, je ne
aration officielle fut publiée, affirmant que leur relation était strictement professi
chez elle, des collègues de l'université murmuraient dans son dos, et même ses p
point de rentrer chez elle, Nathan
e, atte
fatiguée. « Quoi e
er avec moi
un sourcil.
-t-il. « Pas de travail, pas d
disant qu'il valait mieux mettre les ch
ds indiscrets. Nathan tenta de détendre l'atmosphère avec des
han ? » finit-elle par demander
visiblement pris de c
oximité. Pourquoi ne pas simple
. « Parce que je tiens à toi, Jeanne. Et parce qu
elle par ses mots. Mais elle n'était pa
ue jazz en fond rendaient l'endroit idéal pour un dîner en tête-à-tête, mais elle se sentait tout sauf détendue. Nathan, en face d'elle, était impeccableme