Rencontré un Milliardaire
pit
un obstacle mal calculé, et la route se refermait devant elle, la menant droit vers un domaine qu'elle n'avait pas cherché, un territoire qu'elle n'aurait pas dû franchir. Il n'y ava
e s'était déjà avancée. L'air, soudainement plus dense, semblait peser plus lourd que jamais. Elle n'avait aucune idée de ce q
mprendre. Il n'y avait plus de route, plus de champ. Juste un mur de pierres, une grille noire et des lumièr
saient, se dessinant dans l'ombre. Un homme, grand, imposant, qui s'avançait d'un pas calme. Il l'observait, une lueur dans les yeux qui lui donna immédiatement un sentiment d'insécurité. Il n'était pas effrayé. Non, il semblait
. Il l'analysait déjà. Il la scrutait, comme s'il voyait au-delà des apparences. Elle baissa les yeux, cherchant une issue, mais il n'y en avait pas. Les mu
'éloigna légèrement de la grille, mais l'homme l'avait déjà rattrapée. Il était là, juste dev
egard s'intensifia. Diane sentit la pression sur ses épaules, mais il n'y avait nulle part où se cacher. « Je ne vous veux
t vulnérable. Perdue. Elle se rendit compte qu'il était encore plus étrange qu'il ne l'avait laissé paraître. Un milliardaire, sans doute. Un
la coupa d'un geste de la main. Il n'avait pas besoin d'explication. Il a
endroit n'est pas fait pour les étrangers. Tu ne peux pas simplement t'y
un sens agressif. C'était comme s'il n'avait pas l'intention de l'eff
pour elle ? Lui, ce milliardaire mystérieux. Elle ne voulait pas de cette attention, de cette curiosité. Elle
qu'elle ressentait. Il savait tout. Il la voyait comme une brèche, un vide, un espace à remplir. Peut-être était-ce l
is je peux t'offrir une chose : la possibilité d'être libre. Je suis curieux de savoir ce
monde semblait s'être suspendu autour d'eux. La questio
t de le faire. Diane n'osa pas l'arrêter. Elle se contenta de le regarder, ne sachant si elle devait fuir ou rester.
« Tu veux fuir, tu veux t'échapper, mais la route que tu v
ce qu'il avait ce regard qui disait qu'il savait tout de ce qu'elle portait en elle, de ce qu'elle avait vé
rait, mais une chose était certa