Sous Contrat avec le Mafieux Milliardaire
e ordinaire dans les bureaux gris et sans âme de la société où elle travaillait depuis trois ans. Assistante administrative, son quotidien était rythmé par des appels téléphoniques interminables,
glacial de son supérieur lorsqu'il l'avait
on, celui-ci, d'après ce qu'elle avait compris, appartenait à une sphère beaucoup plus haute, presque inaccessible. Un « client important », di
immédiatement que quelque chose n'allait pas. L'air y était lourd, saturé d'une tension qu'elle ne pouvait expliquer. Les s
us, Mademois
bre taillé sur mesure, il dégageait une aura de pouvoir brut. Son visage, tout en angles marqués et en perfection presque irréelle, semblait avoir été sculpté
tes ici ? » demanda-t-il, sa
, secouant lég
. exact
r. Ce n'était pas un sourire chaleureux. Il ressemblai
tique, en soi. Mais assez p
frisson lui par
si j'ai causé un probl
un geste de la main
xcuses. Ce n'est pas
ement sur les moindres détails : ses doigts appuyés sur la table, les manchettes en or fin qui b
ficulté financière
comme un fouet. Clara sentit le
nt savez-vous ça ?
ement en avant, croisa
votre situation précaire. Une jeune femme brillante mais
iantes, les factures en retard, les nuits passées à chercher désespérément une solution... T
lle Martin, est une opportunité. Un
plus doux, presque séduisant. M
té ? » demanda-t-e
t, comme s'il mesura
vous devenie
réhensibles. Clara cligna des yeux,
e... q
sourire, cette fois teint
cée de contrat. Une relation purem
ge la gagner. C'était
demanda-t-elle, l
se tenir à quelques pas d'elle. Sa haute s
sans attaches, sans scandales. Quelqu'un d'assez discret pour ne pas at
sont ces...
, comme pour peser l'import
'affaires crucial qui dépend de l'image que je projet
e se couper. Cela resse
t ? Pourquoi ne pas simplement... trouver que
it légèrement, comme si elle
est question de pouvoir, de manipulation. Je ne fais pas confiance à ceux qui m'entourent. Vou
a tête, se lev
ne peux pas faire
. « Votre salaire actuel ne suffira jamais à couvrir vos dettes. Vous êtes sur le point de perdre votre appartem
se sentait piégée, prise dans une toile q
init-elle par demander,
y avait une ombre de
nités comme celle-ci ne se présentent qu'une fois. Et les
omme se croyait tout permis. Mais une petite voix, sournoise et insis
s-je pour réfléchir ? »
heures. Ni pl
egardant au loin comme si la co
hercher demain soir, à la mê
, puis se le
Je vais...
rtir, mais la voix de
iselle M
se re
prendre votre décision.
mpre. Elle avait l'impression d'être une marionn
s yeux agrandis par l'incrédulité et la peur. Cette rencontre n'avait rien d'ordin