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Les chaînes de l'héritage

Chapitre 3 Chapitre 3 : L'inconnue à l'enterrement

Nombre de mots : 1089    |    Mis à jour : 29/01/2025

r blanc et une chemise légère jetée sur ses épaules, son sac de voyage accroché à son dos. Dans le chaos des passagers pressés autour d

nt et humidité. New York ne l'avait jamais manqué. C'était un lieu qu'elle associait aux absences, aux pensionnats et à une

gnée de sa valise. Il fallait trouver une tenue. Elle avança, déterminée, s

e soigneusement aligné sur des barres en acier chromé. Une femme, probablement dans la quarantaine, a

. Je cherche une tenue pour un enterrement. Celui de m

figée comme si elle venait

otre perte, répondit-elle maladroitement. Vous..

tion apparente, en posant sa va

rrement. Aujourd'hui. Un

lacial de cette femme en jean et la gravité de ses propos. Derrière, une cliente feuilletait distraitement un rac

reprit enfin

uelle taille faites-v

ne avec un léger haussement d'

t rythmant le silence pesant du magasin. Évelyne se tourna légèrement et croisa brièvement le regard

sique, simple mais élégante, ajustée à la t

e-ci. Elle dev

e ressortit, la tenue lui allait parfaitement. Elle se regarda rapidement dans un miroir

en observant son reflet.

deuse

ulez. Voulez-vous que

mettre dans ma valise. Où puis-je tro

une boutique de chaussures à deux rues de là. Évelyne la remercia d'un simple signe de têt

début, attendit qu'elle soit parti

dit que c'était po

les épaules, toujou

d'aller prendre un café, pas d'al

escarpins noirs qui s'accordaient parfaitement à la robe. Elle les enfila dans la bou

ilait à travers la jungle urbaine de New York

a mort semblait un luxe. Les pierres tombales blanches parfaitement alignées témoignaient d'un o

ent déjà présentes, vêtues de noir, discutant à voix basse sous un ciel gris qui semblait lourd de

arents, dans leur absence chronique, avaient rassemblé autour d'eux des allianc

cèrent à s'élever a

elle ? L

ois... Évely

u'elle vit à

rmination froide qu'elle avait en pleine opération chirurgicale. Une si

mpeccable. Son visage était marqué par des rides légères, son regard ble

 ? demanda-t-il d

tête, posant s

Ou

hinalement sa crav

Nous avons parlé au téléphone. J'e

ssa les

st pas i

ésenter mes condoléances, c

sèchement. Vous avez éclai

larkson de court. Il cligna des

u'on discute de cela après la cé

t autour d'elle. Les regards étaient curieux, pesants, mais elle n'y p

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