Mariage sous menace avec le mafieux

assise sur un fauteuil en cuir noir, ses mains croisées sur ses genoux, les paumes légèrement moites. Face à elle, Marco feuilletait un dossier posé sur son bureau massif en bois sombre

Il leva les yeux vers elle, son regard sombre mais calme.

joie. "Facile n'est pas vraim

c avec vous. Ce que nous nous apprêtons à faire n'est pas une décision ordinaire. Ce contrat que je vou

ans son fauteuil. "Protection mutuelle ? Vous s

pensez. En me liant à vous, je m'expose également. Vous serez ma faiblesse aux yeux de mes ennemis, mai

nter en elle. Elle inspira profondément, croisant les bras

n document qu'il poussa doucement vers elle. Il

mune, mais avec des limites clairement établies. Aucun engagement romantique n'était explicitement mentionné, mais il y avait une clause sur la "présentation d'un couple uni et harmonieux". Les asp

rès plusieurs minutes. "Vous a

rien au hasard

?" demanda-t-elle, hésitan

la passion, Clara. Nous devons être clairs là-dessus. Cela dit, je ne suis pas un homme cruel. Je vous respectera

t d'elle avait espéré que, sous cette proposition calculée, se cachait une forme de sentiment, une émot

e veux... partir ?" demanda-

cela. Si, après un an, vous souhaitez annuler ce contrat, vous serez libre de le faire. Je

lle se demanda comment elle allait supporter une telle union. Mais alors qu'elle s'apprê

égèrement de sa dureté. "Mais je vous promets que je tiendrai ma part du mar

tant contre l'envie de se lever et de fuir. Mais au fond, elle savait qu'il avait raison. Refu

lant légèrement, puis pos

us calme. "Nous allons mainte

incrédule. "Aus

asseyant. "J'ai déjà pris des dispositions. Ce sera discret.

a ville. La pièce était sombre, éclairée seulement par quelques chandeliers. Marco était déjà là

une assistante qu'il avait envoyée. Tout semblait irréel, comme

nait même pas des mots qu'elle avait prononcés. Tout ce qu'elle pouvait sentir, c'était le

ement sa main. Ses doigts étaient chauds contre sa peau froide

instant," murmura-t-il, juste a

en elle. Était-ce du soulagement ? De l'

rna vers elle, une lueur indéchiffrable dan

route sinueuse, bordée d'arbres imposants. Clara, assise à l'arrière, observait le paysage défiler à travers la fenêtre. Chaque kilomètre parcouru l'éloignait de sa vie d'avant, de son petit appartement modeste et de ses r

it un signe de tête en voyant la voiture s'approcher, et la grille s'ouvrit lentement, dévoilant une villa massive nichée au cœur d'un domaine parfaitement e

riche, mais voir cette démonstration de pouvoir et de contrô

en rangeant son téléphone dans l

evant l'entrée principale, où deux autres hommes attendaient. L'un d'eux ouvrit la porti

it Marco, prena

te, élégant, mais froid. Les sols en marbre poli, les meubles minimalistes, les œuvres d'art mode

hant d'un pas rapide à travers le hall d'entrée. "Mais il y

ne pas trébucher sur le tapis épais qu

seule de la propriété. Jamais. Peu im

urcils. "C'est une

est une forteresse. Et croyez-moi, dans ce monde, une forte

bras, mais ne

ous avez besoin de quoi que ce soit,

fia

était grande, élégante, et dégageait une aura de confiance intimidante. Ses cheveux noirs tomba

ant en bas des marches. Sa voix était douce, ma

lara," dit Marco. "Clara

a prit pas. Elle se contenta de la fi

e te marier," dit-elle en se tournant vers Marco. "Je dois

vint Marco d

s. "Je plaisante, bien