La fiancée sous contrat du magnat
nçait avec assurance, saluant les uns
murmura-t-
n que son sourire s
quantaine d'années, vêtu d'un costume g
Julien avec aisance. Élise, voici Philipp
t une main
chan
leureux, mais elle sentit une poi
ivée. Vous devez être quelqu'un de tr
rès gentil, répondit
re sur son dos, un geste
avec un sourire. C'est l'une des nombreu
es mots sonnaient tellement naturels qu'el
re. Les conversations étaient pleines de sous-entendus et de compétitions voilées. C
certante. Il manipulait les discussions comme un maestro dirigeant un orch
aurant, Élise se sentit vidée, com
rtie, dit Julien lorsqu'ils
s pensez, répondit
un sourire am
appre
sur sa poitrine. Elle avait accepté cet arrangement pour des raisons pratiques, mais
ça. C'était un saut dans l'inconnu, et elle ignorait encore où il la mènerait. Élise fixa la clé dorée posée dans le creux de sa main, son cœur battant
mménagez
nce Moreau, un mélange de crainte et de fascination s'emparait d'elle. La demeure était un chef-d'œuvre d'architecture moderne,
professionnel et lui prit ses bagages – une valise usée et
à l'intérieur, mademoiselle, a
arbre brillant sous ses pieds reflétait chaque pas qu'elle faisait, et les œuvre
blement vêtu comme toujours. Il descendit avec une as
-il simplement e
du sur les hauteurs du plafond et les immenses f
rez, répondit-il avec
ur se sentir à l'aise dans un lieu pareil
r votre chambre, dit-il en prenan
re elles. Il ouvrit la porte sur une chambre somptueuse, décorée dans des tons neutres et apaisants. Un imm
ce soit, faites-le savoir au perso
ent trop, répondit-ell
qua-t-il, son ton plus tranchant. Vous êtes censée être ma f
yeux, piquée p
i com
hait à deviner ce qui se passait dans sa t
ait d'entrer semblait écrasant. Tout était trop grand, trop brillant, trop parfait. Elle
xplorait timidement la maison, Élise enten
ne peux pas ê
rs la porte entrebâillée, elle aperçut une femme élégante, vêtue d'une robe moulante, se tenant face à Julien.
ompte à te rendre, répliqua
fille ? Elle sort d'où ? Tu crois q
s la porte, et Élise se figea, compren
vec une fermeté qui ne laissait aucune pl
ut le monde sait que tu ne crois pas au mar
d'elle, la dominant
ille de partir avant q
s talons avec un claquement de talons aiguille. Sur son che
de fiancée ? lâcha Margaux
la regarder, trop sur
Margaux d'un ton sarcast
e relâcher. Mais son soulagement fut de courte durée,
aies entendu ça, dit-i
da Élise, sans pouvoir
il sèchement. Ne t'inquiète pas
qu'elle doute que Margaux
. La styliste était revenue pour l'aider à se transformer, lui apportant une robe noire
éclara la styliste avec
pas parfaite. Elle se sen
'attendait, impeccable comme toujours. Lorsq
it-il, un compliment qui
ura-t-elle, m
timidement. Ensemble, ils quittèrent
robes de créateurs se mêlaient dans un décor opulent. Élise se sentit immédiatement subme
n oreille alors qu'ils entrai
qu'elle sente son
là donc ta fam
ha d'eux avec un large sourire. Julien lui serra la m
leureux. Élise, je te présente Cha
lle, essayant de m
hance, répondit Charles
qu'elle ne comprenait pas toujours et serrait des mains avec une grâce qu'elle ne se savait pas capable d'av
regards scrutateurs des autres invités. Certains souriaient, d'autres sem
Élise se laissa tomber sur le siège de
sortie, dit Julien
haque fois, répondit-elle
'est vrai, ré
de temps elle tiendrait avant de craquer. La soirée battait son plein dans le grand salon de l'hôtel particulier où se réunissaient les figures les plus influentes du cercle d'affaires de Julien. Élise avançait lentement parmi la foule, un verre de cham