Inconditionnellement: Tome I
t terminée. Certains portaient même des tee-shirts à l'effigie de l'université qu'ils allaient intégrer à la rentrée prochaine. O
de l'alcool... Je regardais autour de moi, tout le monde semblait avoir quelque chose à mettre da
pris pour jeter dans le feu ? d
re ! répondait-
tre ? Po
temps en train de mesurer les minutes que j'avais de libre, sans devoir étudier ou travailler à ce job q
lumbia à New York et pour Berkeley, à San Francisco, qui était l'université où j'avais
s super contente, tu ne m'
soir, on va fêter ça comme
me nous apporter un verre à boire,
mé, disait Monica en lui arracha
Scott en souriant, me
is-je. Où est le
us loin, à
y va ? pr
ravis est
dans les mains, ce serait un peu trop... bizarre. Je décidais de rester ici en buvant mon verre
ouf ? lâchait Moni
térieurement, je rigolais, elle était toujours spontanée et moi, un peu trop réfléchie. Je crois qu'elle détestait Lis
Scott, sur un air tranquille, comme s'il
ra après n
va y aller ? deman
répondais-je en b
ait été moins gênant mais dans le fond, c'est eux que ça devrait gêner et pas moi. Il m'avait largué du jour au lendemain pour cette fille, qu'il voyait déjà dans mon dos visiblement. Le seul regret que j'avais est que je n'avais jamais eu de réponses à mes questions. Je ne
était l'heure de jeter ce stupide sweat dans le feu, je l'avais gar
ns tout de
nterrogation mais comprenait en me voy
enais de boire. Il y avait déjà des choses en train de brûler. Je prenais le sweat en main, le regardais une dernière fois e
étestes à
e va pas se le cacher. Je ne lui avais plus parlé depuis notre rupture, plus jamais, et je ne comptais pas le refaire un jour. Encore moins le dernier jour de l'année scolaire, quand j'étais enfin débarrassée de lui. Il avait toujours la même allure, fier de lui, sûr de lui. Il était plus gr
fais là ? répondais-je en
ca –, j'ai eu envie de venir te féliciter pour av
ais-je froidement, essayant
e devais lui montrer que moi aussi j'avais tourné la page, et que sa présence ne m'importunait plus. Je me mentais un peu à moi-même, ce mec me faisait toujours autant d'e
l'aimais bien pourtant, disait-il, avec so
p comment je devais réagir. J'avais envie de m'enfuir et en même temps de continuer à di
dans le feu, tu ne
s te jeter toi, je jette ton sweat... C'est symbolique, tu vois ? Disais-je avec le plus grand des sérieux, tout en restant ironique sur le ton de m
, alors ? demandait Travis, l'air su
n et on ne se ver
ntagnes ne se c
s ? je commençais à être a
nvie de discuter un peu a