PITRE
s'approcher. Il ne l'aime pas, je ne peux pas lui en vouloir, moi non plus je déteste Thomas. Ce type ne va jamais quitter cette maison, après tout. C'est déjà assez mauvais que nous nous déte
dans la gueule du loup pour en finir, plu
me ça ? Tu me détestes ? Qu'est-ce que j'a
t de vue
gorgée, quand une odeur incroyablement attirante me frappe : un mélange de vanille et de
se de la douleur, mais elle lève la tête et nos regards se croisent. Je murmure : « Ma moitié
ec une douceur infinie. Elle est petite par rapport à moi, je la domine de ma taille. Puis, je remarque le livre qu'elle tie
ité du mot « détester ». Je ne comprends pas ce qu'elle raconte, jusqu'à ce que je me souvienne avoir murm
a chemise, sans pouvoir détourner mon regard d'elle. C
que je ressens une montée de désir. Je dois me calmer. Elle n'a même rien fait
sprit. Je ne peux m'empêcher de fantasmer
ne pas. Je l'ai attendue toute ma vie, et maintenant qu'elle est là,
'elle porte. J'allais parler, toujours occupé à nettoyer ma chemise, quand j
la perdre maintenant que
ce. Elle entre dans une maison, probablement la sienne. Deux odeurs familières m'arrivent alors : deux h
puissent vivre avec elle. Ce sont sûremen
les que portent la plupart des femmes. Je ferais n'importe quoi pou
ecter la maison. Elle n'est pas très sécurisée, mais le quartier, lui, s
pense pas qu'elle m'ait vu, sinon elle aurait sûrement crié ou appelé la police. Je n
elle ne puisse pas appeler la police quand tout se passera.
nce dans les bois, restant caché
lle me remarque. Elle s'assied au pied d'un arbre, appuyant son dos et sa tête co
lumière du soleil. Son expression dégage de la douleur, et j'a
même pas encore, et je fais déjà le serment de la protéger, de l
branche, qui craque sous mon poids. Elle se re
ns les films. Elle se met à courir sans réfléchir, et elle a bien raison.
? Personne ne peut te rendre triste ! »