La vengeance de la femme du milliardaire
toute sa vie. Deux lignes roses. Positif. Elle sentit son souffle se couper, une vague de chaleur suivie d'un frisson glacé traversant son corps. Depuis des semai
qu'elle avait été. Ces derniers mois, il était devenu distant, plus froid, comme si elle n'était qu'une ombre dans sa vie. Pourtant, elle voulait croire que ce bébé po
e de sommeil et les pleurs silencieux, semblaient crier une vérité qu'elle refusait encore d'admettre. Ad
ses joues d'un geste brusque. Elle inspira profondément, enfou
rayons dorés du soleil. Une bouteille de vin entamée traînait sur la table basse, témoin muet des soirées solitaires qu'elle passa
vement cru. Elle s'était même habillée avec soin, optant pour une robe qu'il aimait autrefois
ention. Elle se leva précipitamment, son
avança dans le hall avec une pointe d'espoir. Mais l'homme qui entra n'avait rien du mari aimant qu'elle espérait retr
a-t-elle doucement,
ules, déposant sa veste s
dîner ensemble », ajouta-t-elle, sa voix t
froide, comme s'il n'avait pas conscience de l'eff
i l'endroit pour une confrontation. Elle se rappela le test dans son sac. Peut-être
uelque chose d'imp
a table. Il jeta un coup d'œil à l'écran, et un sourire qu'elle n
dit-il, s'éloignant sans
tte personne capable de provoquer un sourire chez Adrian,
artagé, elle entendit des éclats de rire venant du bureau d'Adrian. Intriguée, elle s'approcha,
qu'il venait de dire. Ses mains effleuraient légèrement son bras, un geste qui semblait i
ne s'agissait de rien, mais quelque chose dans leur posture, dans la manière dont leur
son courage, elle
ci ? » demanda-t-elle, sa
au dépourvu, tandis que Claire adopta
crois », commença Adrian, mais
Explique-moi pourquoi ma meilleure amie est ici, à
nt. « Maya, je suis venue pour discuter d'un
ue. « Un projet ? Vraiment ? Et depuis quand les pr
, tentant de lui prendre
s, Adrian ? » demanda-t-
lus douloureux que toutes les
, murmura-t-
mais elle se força à rester debout. « Des mois... » répéta-t-
ui évitait de la regarder. « Toi auss
e pour répondre, mais
la trahison et l'humiliation. « Vous vous fichez de moi... Tous
« Vous vous méritez bien. Mais sachez une chose, Ad
errière elle. Chaque pas qu'elle faisait loin de cette maison se
sanglots secouant son corps. Elle posa la main sur son vent
e, sa voix brisée mais résolue. «
t emporter. Ce qu'Adrian et Claire avaient détruit, elle le reconstruirait seule. Ma