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Marié par convenance

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1204    |    Mis à jour : 06/01/2025

ndre en une menace indistincte, Lucie se leva tôt. La maison était encore plongée dans le silence, et une curiosité inexplicab

ne porte massive, en bois sombre, se dressait devant elle, ornée de ferronneries élégantes mais austères. Elle hésita un

en velours pourpre, filtraient la lumière matinale, et un parfum subtil de bois et de fleurs fanées imprégnait

dré. Lucie s'arrêta devant un portrait grandeur nature d'une femme aux cheveux châtain cla

elle-même : « Qu

livres usés, un piano à queue recouvert d'un voile blanc, et, sur une

'une manière qu'elle ne l'avait jamais vue. À côté de lui, la femme du portrait. Ils semblaient heureu

oix glaciale b

ites-vou

illon. Adrien se tenait dans l'embrasure de la por

ant de ramasser le médaillon, mais ses mains tre

u'il prit le médaillon de ses mains, ses doigts effleurère

l d'une voix basse mais menaçante. «

pas fouiller. J'étais juste... curieuse. Cette femm

répondit pas tout de suite. Il semblait peser ses m

empreinte d'une froideur qui semblait plus dirigée con

ompassion percer sa méfiance

re contenue. « Ce n'est pas votre affaire. Et si vous tenez à v

je joue le rôle de votre femme, mais vous me traitez comme une étrangère. Peu

e eux. « Vous ne comprenez rien à ma vie, Lucie.

. Gardez vos secrets. Mais ne venez pas me reprocher d'

lpable, jusqu'à ce qu'Adrien tourne les talons brusquem

tiques de son cœur. Elle n'avait jamais vu Adrien aussi troublé, et bie

dans le salon, elle entendit Adrien répondre à un appel dans une autre pièc

ause, suivie d'un ton plus grave. « Si vous touchez à un chev

approcher, et lorsqu'il entra dans le salon, son visage était aus

se ? » demanda-t-elle,

pesait encore une fois s

n'est pas rien, Adrien. Je vous ai entendu

on nouvelle. « Tout est sous contrôle. Je vais p

blante. « Je n'ai rien demandé de tout ça. Je

a voix était étrangement douce. « C'est pour ça que je

nce s'installa à nouveau entre eux, mais cette fois, il était chargé d

sur la vitre, son esprit en ébullition après les événements de la veille. Adrien semblait plus tendu que jamais, et bien qu'el

drien entra dans la cuisine, vêtu d'un costume

» lança-t-il en a

x, surprise. « Prépa

d'affaires ce matin. Vo

pant en elle. « Vous plaisantez ? Je ne connais rien à vos affaires, et encor

s ma femme, Lucie. Aux yeux des autres, vous devez jouer ce rôle à

, sa chaise raclant le sol. « Très bien. Mais ne

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