Marié par convenance
rte. Ça n'a rien à voir avec vous. Vous devriez retourner pleurer dans vo
sayé de refouler toute la journée refit surface, mêlée
le grand chef, mais vous êtes ici tout seul à vous plaindr
rien ne montrait rien, mais un éclat passa dan
rde, » dit-il en souriant légèremen
enre vous êtes. Vous pensez que l'argent règle tout, que les gens doivent
chose en elle, une impulsion qu'elle ne co
lqu'un pour ce contrat
qu'elle venait de dire ? Mais Adrien, lui, ne réagit pas comme elle s'y attendait. Il la re
il enfin, bien que sa voi
lle faisait. « Pourquoi pas ? Vous avez besoin de quelqu'un, et moi...
réfléchir, ses doigts tapotant contre son té
e ? » demanda-t-il,
t-elle, bien qu'une part
un jour nouveau. « Très bien, » dit-il lentement. « Suppos
cils. « Qu'est-ce que
une blague. Il y a des conditions strictes, des attentes à respecter.
idant, mais elle ne voulait pas reculer. Pas cet
de mariage, stipulant que vous jouerez le rôle de ma femme pendant un an. Pas de sentiment
ait insensé, irréel. Mais en même temps, c'était peu
e finalement, sa voix
s acceptez aussi facilement ? V
Non. Comme je l'ai dit,
termination. Puis, il tendit la main. « Très bien. Nous av
geste, pourtant banal, scellait un pacte q
ent, une ombre passa sur le visage d'Adr
manda Lucie, sentant
anait de lui. « Ne croyez pas une seconde que je vais vous faciliter les c
ucie comprit qu'elle venait de s'embarquer d
téléphone collé à l'oreille et une expression impénétrable. Lucie, qui n'avait pas dormi, avait passé la nuit à r
rd, » lança-t-il en
ier sur un coup de tête, » répondit-elle, a
noire qui semblait tout droit sortie d'un film
ant délibérément Lucie, qui fixait les rues défilant à toute vitesse. Quand ils a
e marie ? » demanda
raditionnelle qu'elle se faisait d'un mariage. Ils furent accueillis par un homme en costume strict, qui se présenta co
vœux. Juste des signatures sur des documents, des termes contractuels énoncés de man
sa poche comme un détail mineur. Elle se sentait vide, comme si une p
ordre, » ann
qui traînait légèrement les pieds. En sort
tre un conte de fées, »
es étapes. « Vous allez vivre avec moi, évidemment. Mon appartement est suffis
qua-t-elle avec un
ges, avec des baies vitrées offrant une vue imprenable sur la ville. Tout était impeccable, du mobilier minimaliste en
ce de son environnement. Il se dirigea vers le bar et se servit u
quel point elle se sentait hors de sa place. « Merci pour cette g
us, mais souvenez-vous que ceci n'est qu'un arrangement. N
it sur sa poitrine. Cet endroit, aussi lu
a chambre d'amis qu'un bruit sourd retentit dans
s que tu étais à une