L'amour n'est pas pour nous
ce et moi encore plus, je n'arrivais pas à soutenir son regard et mes yeux décidèrent d'eux-même de ne pas l'affronter et de regarder le sol. Parler était assez difficile, je sentais un énorme nœud d
petite merde... Non mais qu'est ce que tu fous au lycée? -C'est bon t'as pas besoin d
avais perdu tout mes moyens et que je n'arrivais plus à m'exprimer,
à présents et regardaient la scène, j'entendis des rires qui se faisaient de plus en plus forts et j'avais du mal à les supporter, tout ce que je
ns de ton espèce me répugnent vraiment, s'en prendre au plus faible? T'as pas trouvé mieux comme idée? Tu te sens vexé et blessé dans ta fierté parce qu'on a daigné te dire la vérité? Si tu veux frapper quelqu'un alors viens te battre. Il se releva difficilement et me regarda méchamment. Son regard n'annonçait rien de bon, sa posture et sa carrure non plus. Il avança rapidement mais prudemment vers moi et sans que je ne m'en aperçoive, sa main se resserra autour de mon cou et il commença à m'étrangler. Très rapidement, je commençai à manquer de souffle. J'essayais de l'atteindre et de repousser ses mains mais il me maintenait à distance de lui. C'est lorsque Je commençais à devenir de plus en plus bleu, que les élève autour de nous se sont rendus compte qu'il pouvait bien me tuer, là, aux yeux de tous. Il ne me lâcha que lorsque les surveillants, alertés par d'autres élèves, se ruèrent sur lui. Nous fûmes alors conduit dans le bureau de la directrice pour bagarre et trouble du calme du lycée. Le début des cours passa sans nous, James était à l'infirmerie et moi, toujours coincé avec Aloïs dans le bureau de la directrice. -Je peux savoir ce qui s'est passé? Ça ne m'étonne même plus de vous Aloïs Brandao. Mais Claudine, vous avez toujours été droite. Qu'est ce qui s'est passé? -Pensez à discipliner vos toutous. Elle aboie beaucoup mais au final elle ne sait pas mordre. Il me regarda avec un sourire en coin mais ses yeux, eux, ne souria