La captive du cheik
ue aspérité, comme pour rappeler que rien ni personne n'était parfait. Léna, encore vêtue de sa robe rouge de la veille, s'assit lourdement sur le petit banc de pierre devant la maison de Ma
de la maison avec deux tasses de café fumant. T'a
un sourire amer flo
ue. C'était... étrange. Il y avait quelque chose ch
côté d'elle, te
s masqués, non ? Le mystère,
venait sans cesse dans son esprit. Ses yeux, sombres et perçants, semblaient avoir vu a
reprit Marina en changeant de t
s sourcils, so
le nou
de café, savourant le s
x. Oui, *le* Delacroix. Le type qui est arrivé en hélico l'autre jour. Il paraît
le posa sa tasse avec un peu trop
, parmi nous, à se mêler à notre fête, alors qu'il
les épaules,
t le monde sait qu'il est là pour les
bond, le masque to
l'affronter. Il ne peut pas penser qu'il peut débarquer
déjà partie, sa robe rouge brillant sous l
*
ge de meubles anciens et de touches modernes, offrait une vue imprenable sur les oliveraies. Mais Adrien ne regardait pa
lage. La signature en bas à droite, "L.S.", était discrète, mais c'était tout ce dont il avait besoin pour commencer ses recherches. Il avait passé une partie de la nuit à penser à
pper, un sourire nar
t-il en s'asseyant nonchalamment dans un fauteuil. B
urna vers lu
s le découvrir. Vo
épaules, jouant
e. Une artiste locale, discrète mais talentueuse. Enfin, si vous voule
t dans son esprit, éveillant un souvenir flou mais persistant. É
ontre, dit-il finalement, s
par la déterminati
s, cette fille a du caractère. Vo
*
ent à son arrivée. Les villageois, assis sur des bancs en bois, se tournèrent pour la regarder, certains intrigués,
isèrent, et un silen
pièce. Vous osez venir ici, parmi nous, et parler c
bilisé, posa son dossier sur u
a-t-il, bien qu'il conn
is l'une des nombreuses personnes ici qui n'ont pa
mais personne n'intervint. Tous attendaient d
ndément, choisissant
s pas là pour détruire quoi que ce soit. Mon projet vis
pas pour nous. Vous parlez de progrès, mais tout ce qu
habitué à ce qu'on lui parle ainsi, mais il devait
épliqua-t-il. Peut-être que si vous preni
s. Vous voulez transformer nos terres en un parc pour touristes riches, en détruisant ce qui
t une faille dans son discours, mais il n'en trouva aucune. Elle était pa
e Léna. Si c'est ce que vous pensez, alors peut-être devrions-nous discute
e rire, un ri
ntente ? Avec vo
éfaite et un Adrien perplexe. Pour la première fois depuis longtemps, il se sentait
rs des oliveraies, mais aujourd'hui, ce parfum familier n'avait rien de réconfortant. La confrontation de la veille avec Adrien Delacroix continua
uter "en privé" la troublait. Pourquoi cette insistance ? Elle s
Lé
dossier en cuir sous le bras. Son allure impeccable détonnait dans le décor rustique du
, dit-il, son ton poli mais ferme. Il aimer
aque fibre de son être lui criait de refu
ment. Mais ça ne veut pas dire q
sa pas lorsque Léna franchit le seuil de la maison louée par Adrien. La décoration intérieure,