La captive du cheik
ne touche presque irréelle. Les couleurs semblaient danser sur la toile, comme si elles voulaient raconter une
ses pensées. « C'est une artiste locale, Léna Santos. Une autodidacte. Elle vend
ourquoi cette peinture, si simple en apparence, l'attirait autant. Peut-être était-ce la lumière, ou
au ? » demanda-t-il fin
puisse répondre, la galeriste, une femme âgée au regard
régla l'achat sans négocier, sous le
conversation, vantant les charmes du village et insistant subtilement sur l'importance de préserver son authenticité. Mais Adrie
murant entre eux. Il ne savait pas encore comment il allait surmonter cette méfiance, mais une chose était claire : il allait découvrir qui é
voix et des rires. De maison en maison, des lumières tamisées se reflétaient sur les pavés irréguliers, tandis que les femmes ajustaient leurs robes e
genre de soirée. Ces gens-là, ils... - Léna soupira, cherchant ses m
son propre cou. Ses doigts agiles semblaient aussi habitués à
que tu tomberas sur un riche collectionneur d'art qui t'achètera tous tes tableaux. - Marina lui adressa un
vait toujours été la plus audacieuse des deux, celle qui sautait dans la rivière en pleine nuit ou osai
. - Elle haussa les épaules, espérant que
dans une armoire débordante e
age à Séville et s'est plainte qu'elle était "trop voyante". Elle m'a dit que je
tissu rouge semblait briller à la lumière,
e... - murmura-t-elle, mais Marina se
r à une déesse. Mainten
#
s en pierre d'une auberge rustique, ajustant le masque noir qu'il avait choi
demanda Diego, visiblement amusé par l'idée qu'un homme
ers son interlocuteur, so
mes intentions. Et vous avez dit vous-même que cette soirée ras
r qu'il prenait à voir Adrien, si habitué à dom
e sont pas aussi naïfs qu'ils en ont l'air
la moitié de son visage, mais ses yeux, froids
#
ers suspendus dans les arbres. Les invités, vêtus de costumes colorés et de masques, déambulaient avec grâce
rouge de Léna attirait les regards, mais elle marchait tête haute, bien qu'une légèr
ra. Fais honneur
spérait passer inaperçue ou du moins garder une certaine distance avec la réalité. Elle ne voulait pas qu'on la reconnaiss
ne pas appartenir à cet endroit, tout comme lui. La femme marchait avec une grâce nerveuse, comme si elle voulait disparaître tout en captant ch
tournaient au rythme d'un tango passionné. Comme par in
danser ? demanda-t-il e
son masque noir, l'homme avait une allure mystérieu
e ? répondit-elle avec un sourire en co
solu
La musique changea, passant à une mélodie plus lente, presque envoûtante. Leurs corp
étranger, murmura Léna, ch
ecque, rétorqua Adrien, son t
rougir Léna, mais elle répon
donne des ailes,
as pourquoi cette femme, qu'il n'avait jamais vue auparavant, l'attirait aut
demanda-t-il soudain, br
légèrement
aut mieux être une étrang
e. Il sentit qu'elle ne parlait pas seulement