Échos du Desir
chose de concret, d'apporter une vraie contribution. Mais ce n'est pas aussi simple que je l'avais i
compassion prenant le dessus. « Je ne pense pas que ce soit aussi simple. Vous faites une différence. Vous util
lants d'une émotion qu'il semblait essayer de c
r une telle connexion avec Gabriel. Il n'était plus simplement ce milliardaire distant et arrogant. Il
rpréter ce qu'elle ressentait. « Peut-être que c'est parce que je
esta sérieux. « Ou peut-être que vous voyez qu
s vite, troublée par la proximité de Gabriel et par l'intensité de leurs échanges
r sur le projet », dit-elle, sa voix un
comprenant implicitement ce qu'el
incelle venait de naître, subtile mais puissante. Ils se regardèrent un dernier instant, chacun conscien
it palpable, rendant chaque échange plus profond, chaque mot plus chargé de sous-entendus. Claire essayait de se concentrer sur les chif
emblaient leurs affaires, Gabriel se tour
, dit-il doucement. « Je pense que nous
it que leur relation venait de franchir une nouvelle étape, et
ons à prendre. Claire s'efforçait de garder la tête froide et de se concentrer uniquement sur son travail. Mais depuis leur échange dans la salle de confé
tes, ses regards, tout dans son attitude indiquait qu'
ient depuis quelques jours. Depuis leur collaboration plus étroite, Gabriel s'était montré de plus en plus présent. Il se rapprochait d'elle, se penchait souvent un peu trop près, ses regards se faisaient pl
tentit. Un message. Claire jeta un coup d'œil à son téléphone et vit que Gabr
que fois qu'elle entrait dans son bureau, elle ressentait une certain
trer. Gabriel était assis derrière son imposant bureau en boi
me, son regard la fixant intensément. « J
le espérait que ce serait une conversation purement professionnelle, m
nda-t-elle, tentant de
éconcertante. Il portait un costume impeccable, mais sa cravate était légèrement défaite, comme si l
doucement, lui désignant
chose de différent se passait. Gabriel s'assit sur le bord de son bure
ère collaboration. Je dois dire que vou
r la défensive. « Merci, Gabrie
rs aussi humble. Mais vous devez savoir que je vous appréc
endre où il voulait en venir. Elle resta silencieuse, ne sachant comment répondre. Un sou
istance entre eux. « Vous êtes quelqu'un de fascinant, Clair
cherchant à garder son sang-froid. « Je suis flattée, Gabriel, mai
regard ne quittant pas le sien. « Es
? Elle ressentait cette attraction, ce lien indéniable entre eux, mais elle savait que se laisser aller à ces se
. « Je ne veux pas vous mettre mal à l'aise. Je respecte vos limites, Clai
is ses mots avaient le poids d'une proposi