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Une grossesse qui a tout changé

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1203    |    Mis à jour : 01/01/2025

ours son carnet à la main. La libraire, comme à son habitude, était occupée à ra

préoccupée," dit-elle e

r le comptoir. "C'est cet homme. Eli

ourcil, intéressée. "Et q

l dit que j'ai du talent et que mes

urire malicieux se dessinant sur

nt frustrée. "Je ne veux pas que mes écrits soient jugés, critiqués,

. Mais parfois, partager ce que l'on a en soi peut apporter plus de bien que de mal. Peu

son regard fixé sur les

oucement. "Tu n'as rien à perdre à

-

puis son bureau. L'homme était assis dans le salon de l'hôtel, une

écida de s'approcher. Elle portait une robe ajustée qui soulignait ses courbes

a-t-elle en s'asseyant à côté de lu

l'interruption, mais il cacha son irritati

pé," continua-t-elle, i

le s

s vous avez besoin d'un guide local, je sera

préfère explor

s son attention fut soudain attirée par la feuille de poème

poèmes, n'est-ce pas ?" demand

sourcils. "Commen

nt innocent. "Oh, Saint-Clément est une

a rapidement la feuille dans sa veste. "A

aucoup trop renfermée pour comprendre ce que vous lui offrez. M

rsation. "Clara, si vous avez un projet en tête, je serais ravi

s abandonner. "Très bien, Monsieur Vaillant. Mais so

rnier regard appuyé, laissan

-

e sur sa table de chevet. Ses doigts hésitèrent à la toucher, comme s

son univers à quelqu'un comme Elias, avec son as

er sur son lit. Ses poèmes étaient son refuge, son monde. Le

s avant d'éteindre la lumière, décidan

bre d'hôtel, observait lui aussi la nuit, pensif. Il avait croisé des talents

ne pouvait pas la l

te qui se reflétait sur les pavés humides. Dans l'obscurité paisible de sa chambre, Aurora contemplait la carte de visite laissée par Elias. Le

vant de descendre en peignoir, ses chaussons traînant sur le parquet

dit-elle, tendant

le combiné

ll

'Elias. "Je m'excuse de vous déranger si tard, ma

us ai déjà dit que je

ne lecture publique à la Maison des Arts. C'est une soirée dédiée au

demanda-t-e

peut-être réaliser que vos mot

suis pas sûre que ce

ent, le journaliste dont je vous ai

ir," finit-elle par di

c curiosité. "Encore

ndit Aurora

éterminé," a

e," murmura Aurora en

-

'odeur familière du papier et l'atmosphère tranquille des rayonnages. Mais dès q

e, vous avez dé

s. "Je ne sais pas. Cet

nd en croisant les bras. "Tu es bourrée de talen

suis pa

libraire en posant une main sur son épaule.

, vêtu d'un manteau usé et portan

clama-t-il. "Tu seras

cils. "Vous aussi, v

nvitation dans tout le cercle littér

vouloir y aller," répo

nt. "Écoute, Aurora. Il n'y a rien de mal à écouter. Et

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