Le double jeux d'une milliardaire
s feutrés et le tintement des coupes de champagne emplissaient l'immense salle de bal, donnant l'impression d'une symphonie de luxe et de futilité. Mia s
aissant quelques mèches encadrer son visage. On aurait pu croire qu'elle était au sommet du monde. En réalité, elle se sentait prisonnière. Chaque sourire échangé,
rouge à la main. Elle portait une robe pourpre qui
'amuses presque, lança Sophie
sourcils, son sourire de f
ge, répondit-elle. Ce n'est
expression mêlant compassion et un
t-elle doucement. Regarde autour de toi. Tout le monde
ux, son regard se p
s voient, Sophie. Pas
ès d'elles, proposant des amuse-bouches. Mia secoua douceme
rès tout, pourquoi p
d'hommes en costume sombre. Son visage était impassible, mais elle connaissait cette posture. Son père orchestrait
t à la conversation qu'ils avaient eue plu
ir grave. Ton avenir n'est pas uniquement le tien. Il concerne notre famille. Tout
bras, tentant de ma
de la famille, avait-elle répondu fr
iré, son regard d
nt de trouver quelqu'un digne de toi. Quelqu
ecoué la têt
un qui partage *tes* v
un homme qui n'a pas sa place ici, tu te trompes l
t de se refermer. Elle savait que son père n'était pas entièrement mauvais. Mais son obse
êtu d'un costume qui semblait élégant mais sans prétention. Ses cheveux légèrement en bataille et son air détendu contrastaient avec la
? murmura-t-e
aussa le
vrai ? Un peu trop... simple, peut-être
s son attitude détonait. Il semblait étranger à tout cet apparat, comme s'il n'ap
à ce moment-là, un sour
e veux te prése
onnus pour leur influence dans les cercles artistiques. Elle échangea les politesses habituelles, hochant la tête aux compliments adress
e avait besoin d'air. Traversant la salle avec élégance, elle se glissa
la balustrade, une coupe de champagne à la main. Il tour
is pas le seul à avoir b
stant, puis s'ap
étouffantes, répondit-elle,
x fixant les siens avec u
uelqu'un qui connaît b
es, un sourire énigma
s ne semblez pas vraim
cère, dénué de la condescenda
tre là. Mais vous avez raison, je
'était pas inconfortable. Mia se surprit à
nit-elle par dem
in, son sourire
s. Et
instant, puis
Mi
phie, qui surgit sur la terrasse,
lança-t-elle. Ton
tant un dernier
que le devo
ête, son sourire
qu'on se rec
jeter un dernier coup d'œil par-dessus son épaule. Lucas était toujours là, la
ant, pour la première fois depuis longtemps, Mia ressentait autre chose que de la lassitude. Il y av
e, mais une partie d'elle a
-
mystérieux Lucas, plantant les graines d'une d