La compagne de l'Alpha maudit
sé la nuit à relire des passages du journal, tentant d'y trouver un sens logique, une explication rationnelle. Mais rien n
soucier du monde extérieur. Pourtant, je me sentais changée, comme si la nuit m'avait laissée différente. Une idée sournoise s'était insinuée dans m
la n'était que des histoires. Pourtant, au fond de moi, je savais que c'était plus que ça. Mon cœur battait fort alors que je m'approchais de la lisière des arbres. La forêt se
amis étaient loin de partager mon obsession pour ce genre de mystères. Mais cette solitude rendait ma décision encore plus étrange.
aturel. Chaque craquement de branche sous mes pieds me faisait sursauter, comme si j'étais un intrus dans un lieu
rnal, à cette "Lignée" mystérieuse, aux rituels sous la lune. Ces idées qui
je à moi-même, plus pour comble
nt dans ma poitrine. Rien. Juste des arbres, immobiles et imposants. Je repris ma marche, mais ce
'était un homme, vêtu de noir, son visage partiellement dissimulé par l'ombre
hose ? lança-t-il, sa voi
sprit me hurlait de mentir, mais avant que je ne puisse dire q
tez les pieds, dit-il avant de
'inconnu avait une présence étrange, presque surnaturelle. Je me promis de ne pas m'attarder, mais mes pieds se
resque méconnaissable. La lumière du jour se faisait rare, filtra
l
n doute sur ce que je voyais, mais tout en lui semblait... différent. Il était plus grand que n'importe quel loup que j'avais vu en photo
rmurai-je, ma v
dans l'air, et pendant un instant, j'eus l'impression qu'il allait s'approcher. Mais un craquement, loin derrière mo
elante, mes jambes
ute voix, espérant que le son de m
r le sol, cherchant des traces, des in
sser, mes doigts tremblants. Le métal était froid au toucher, et un symbole complexe
avec précipitation jusqu'à ce que je tombe sur ce que je cherch
le pendentif serré dans ma main. La sensation d