L'IMMORTEL ET LA MORTELLE
as que je puisse... commence-je, mais je su
lle en écoutant quelqu
-je ma mère dire, probablement à
our, tu seras roi, mon fils... Tu dois ramener ta compagne en Roumanie. Ton roya
est coincé dans ma gorge. J'avale difficilement alors que mon esprit se vid
pensées qui me laissent désespéré. Deux mots suffiraient p
je, mes paroles gravant
es mots pr
us de retou
e vue d
nerfs. Toute la journée, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter des regards par-dessus mon épaule, comme pour vérifie
ut mon corps. Est-ce un frisson, ou juste une vague d'anxiété ? Je ne sais pas. Sa façon de me regarder... c
de maisons de chez moi. Je resserre mon écharpe autour de mon cou, essayant de me protéger du vent gl
par la rafale qui les a emportées dans l'allée que je viens de dépasser. Un frisson me parcourt, et soudain je n'ai plus froid. Une boule se forme dans ma gor
ntement dans cet espace désert. Un bruit retentit derrière la benne à ordures, et je prends une i
de derrière la benne, et mon c
t la main vers le vieux chat noir errant. Il s'approche, renifle ma main, puis pousse sa têt
ue tu étais quelqu'un, dis-je avec un
dain, ses paupières se rouvrent. Il fixe un point derrière mon
et alors que je m'apprête
de l'ombre, et je me rends compte qu'il est lui-même comme une ombre. Je laisse échapper un hoquet
déplacé d'un endroit à un autre en un instant. Mon cœur bondit
a mâchoire est proéminente. Ses traits semblent encore plus impec
apprêtait à dire quelque chose. Je titube en arrière en apercevant ses deu
image claire de peur totale et incontrôlable m'envahit. D'une manière ou d'une autre,
sortir, alors qu'il reste là, à
pas, le supplie-je, sentant
e douleur, presque comme si mes m
dit-il doucement, d'une vo
voix vacille tandis que mon corps s
oigts effleure ma joue, et un frisson me parcourt l'échine. Sa main est glaciale. J'avale avec
mon amour... murmure-t-il, et
faire quoi ? chuc
s crier, car un chiffon se plaque sur ma bouche et mon nez. J'essaie de hurler, mais mon cri est étouffé a