Mon cruel compagnon
la bibliothèque de la meute. C'était un endroit où peu de membres se rendaient, préféran
ée par un vieux grimoire à la reliure épaisse et usée. Il semblait hors d
lies d'un langage ancien, mais certaines sections étaient traduit
une malédiction, une ancienne magie qui touchait "le sang de
lias et à ses herbes étranges. Étai
rticulier attira
si à la trahison. Elle se nourrit de la dis
ourquoi avais-je l'impression que tout ce qui se passait
je relisais encore et encore les mêmes phrases, comme si leur sens pouvait changer d'un instant à l'autre. L'écriture man
és et les cœurs empoisonnés par la trahison. Elle ne peut être brisée qu
ce que j'avais surpris Elias faire dans la forêt devenait de plus en plus troublant. Était-ce une coïncidence ? Non, j
tte indistincte, à la fois humaine et animale, semblait emprisonnée dans un cercle gravé de sy
i précipitamment le grimoire et me retournai pour voir Axel
des maintenant ?" demanda-t-il, son
?" répliquai-je, essayan
l en s'approchant. "Mais je suppose que tu es
faire oublier, même l'espace d'un instant, tout ce qui pesait sur mes épaules. Mais je s
s-je en haussant les épaules, es
sourire en coin. "Tu devrais faire attention, Clara. Les livres p
rd fixé sur moi. Il était proche, trop proche,
nda-t-il soudainement, sa voix
ire q
r ce que tu
éfiante. "Pourquoi est-ce
as," répondit-il. "Tu n'es pas qu'une Omega, Clara. Tu as du poten
'admettre. Il tendit la main et effleura une mèche d
tre bien plus,
l à l'aise. "Et qu'est-ce
l avec un sourire mystéri
re où étaient rangées des armes anciennes. Il en sortit une lame fine et
un regard provocateur. "Je va
*
de me pousser toujours plus loin, mais aussi de rendre chaque instant imprévisible. Il me corrigeait d'u
derrière moi pour ajuster ma posture. "L
me troublait plus que je ne voulais l'admettre. Pourtan
essayant de reproduire le m
n chargé d'une pointe d'amusem
ds se croisèrent, et pendant un i
," murmura-t-il. "Tu po
?" rétorquai-je, essay
sourire disparaissa
répondre, une voix fa
e que vou
el, debout à l'entrée, les br
xel avec un sourire narquoi
egard sur moi. "Clara, peux-tu nous laisser
el. "Si tu veux dire quelque
t, visiblement exaspéré, avant d
t," dit-il, son ton
nir son regard, et quittai la pièce,
*
nais, espérant trouver un peu d
a, at
mais je ne me
ernièrement ?" demanda-t-il, sa vo
ndis-je, les
fouiller dans ce vieux grimoire. Et maintenant, tu pa
regard brûlant de défi. "Et toi, G
n, mais il se reprit rapidement. "Ce n'es
confiance, je n'aurais pas à che
nt d'un ton. "Clara, tu te mets en danger. Tu ne s
que-moi !" r
qu'il ne secoue la tête. "Certaines choses ne
ra trop tard, G
important se préparait. Gabriel me lança un dernier regard, mêlé de colère et de quelque
e, avec plus de qu
cœur lourd et l'esprit confus. Il y avait quelque chose qu'il ne me disait pas, quelque chose de bien plus sombre qu
mé que jamais, et son regard fuyait le mien à chaque fois que nos chemins se croisaient. J'en avais assez
ppelai-je en
ement agacé par mon interruption
s croisés. "Tu ne veux jamais parler, mais tu m'attends t
. "Tu ne comprends pas
on regard dans le sien. "Parle-moi de cette malé
e, avant de soupirer lourdement. "Certains secrets doivent rester enterré
n'est pa
it par détourner le regard. "Je ne pe
ma voix tremblant sous l
l finalement. "Et parce que certaine
lement une question de confiance ; c'était une question d