Mon cruel compagnon
ights. C'était là que je vivais, moi, Clara, une Omega, une de ces louves que beaucoup considéraient comme faibles ou inutiles. Ces pensées tournaient dans ma tête comme un poison lent, i
e eux, comme si rien ne
te fraternité semb
ant les paroles acerbes d'un jeu
res, Clara. Laisse les vrais
ne voulais pas de leur pitié, ni de leur condescendance. Je voulais être comme ma mère, une guerrière, une légende de la meute dont le nom résonnait encore dans les récits autour des feux de
e frustration. Pourquoi tout semblait-il hors de ma portée ? Pourquoi, à cause d'un sta
re meute. Sa stature imposante me fit instinctivement reculer d'un pas, bien que je sache qu'il n'était pas du genre à user de vio
-il d'un ton neutre mais ferme,
cils, refusant de d
n, à attendre qu'on m'autorise à exister ?"
assa sur son visage, m
jouer, Clara. R
C'est ça que tu vois en moi ? Une Omega incapa
as, mon cœur s'emballa. Il était si proche que je pouvais distinguer
, son regard se durcissant. "Ne cherch
e les arbres, me laissant seule
*
is une patrouille. Loin des regards accusateurs des guerriers, c'était ma façon de prouver, silencieusement, q
izon. Sa présence était réconfortante, bien qu'il n'ait jamais réellement pris parti dans les te
loin, à l'écart. Curieuse, je ralentis le pas,
t Elias d'un ton inquiet. "Cette malédiction... ell
naître un frisson le long
les cheveux, un geste rare chez
r. Si quelqu'un apprend que leur Alpha est vulnérable sous
es de perdre plus que leur confiance.
nnait de questions. Une malédiction ? Une vulnérabilité ? Ce n'était pas un simp
us mon pied. Gabriel se tourna brusquement vers ma directi
il, sa voix tranch
rder un air innocent, bien que
balbutiai-je, bien consciente que
moi en quelques pas ra
as ?" demanda-t-il, mais son ton
chant mes mots. "
e mêles de ce qui ne te regarde pas, Clara,
Mais au fond de moi, une flamme s'était allumée. Gabriel cachait quelque
me promis que je découvrirais la véri