Posséder par L'Alpha
é par la conversation de ce matin, n'avait pas vu la réunion en cours. Elle pensait simplement que c'était une pièce vide, une autre salle à nettoyer. Mais le moment où elle s'arrêta
mba dès que son pie
son fauteuil, sa posture se faisant aussi imposante que la colère qui émanait de lui. Il jeta
autres murmurant à voix basse. Sandra sentit une vague de chaleur envahir son visage, mais au lieu de s'excus
a voix, basse et dangereuse, se fit en
lle chercha à s'excuser, mais son esprit se trouva embrouillé
la fin de la phrase, et son regard dériva rapidement sur les autres hommes dan
quoi ? Que c'était l'heure de venir fouiner dans mes affaires ? Que vous pouviez entrer sa
s, son regard toujours aussi acéré. La panique commença à
elle, lui lançant un regard qui la figea sur place. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, les mains tremblant
êtes entrée ici pour chercher des informations sensibles, non ? » Son ton se fais
té et de jugement sur leurs visages. Ils savaient que ce genre de situation n'était jamais simple avec Ethan. Et Sa
n pleine panique. « Non, je vous jure, je ne cherchais rien ! Je ne sa
des oreilles. Vous croyez que vous pouvez entrer dans mon bureau et fouiner autour sans qu'il y ait des conséquences ? » Sa
u ce réflexe étrange de vouloir entrer dans cette pièce ? Pourquoi son instinct l'avait poussé à franchir cette porte ? Elle n
og, se leva de son siège et se dirigea vers la porte, l'air à la fois dubitatif et agacé. « Ethan, tu d
l'homme. « Tu penses qu'elle est digne de confiance ? Elle est dans l'hôtel
on cœur s'alourdir. Elle avait l'impression d'être prise dans un piège, chaque mouvement,
, se détourna enfin et marcha lentement vers son bureau. Il s'assit derrière, s'appuyant légèrement
ais qui trahit un autre aspect de lui, une fissure dans son masque de perfection. « Vous ne savez pas ce que c'est de faire confiance à quelqu'un, Sandra, » murmura-t-il, presque pour lui-
se retrouva soudainement à le regarder différemment, une compréhension fugace de la souffrance qui le façonn
ais rien de mal, je vous le jure ! » Sa voix trembla alor
t ses mots, avant de lâcher un soupir. « Non. Vous ne
er allait la marquer, d'une manière ou d'une autre. Mais il n'y avait plus de retour en arrière. Elle était en