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Posséder par L'Alpha

Posséder par L'Alpha

Auteur: plume htn
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 1127    |    Mis à jour : 10/12/2024

suffocante. Sandra s'immobilisa net, le cœur battant à tout rompre. Elle venait tout juste de sortir du vestiaire

pas précipités. Sandra hésita, son instinct lui criant de faire demi-tour. Elle n'était qu'une nouvelle recrue, une femm

me en tailleur noir, probablement une réceptionniste, se tenait face à un homme dont le visage lui était inconn

tu n'obéis pas, non  ? Je n

enait pas tout, mais le malaise palpable l'ébranla. Elle voulut partir, s'é

perd d

homme blond, son sourire affable ne parvenant pas à masquer la froideur dans son reg

, » bredouilla-t-elle, essayant de garder une

ûr. Mais ce n'est pas en espionnant les affaires des au

our se défendre, mais il

Je vais te montr

le choix. Tout en la guidant, il ajouta à voix basse  : « Un conseil, Sandra  : ici, on

é que travailler dans un hôtel cinq étoiles serait intimidant, mais pas au point de sentir constamment une menac

it oppressant, et les moindres bruits du couloir la faisaient sursauter. Elle revoyait la scène de tout à l'heu

spirateur, une voix famil

finir. Ethan ne tolérera

'approcha de la porte et tendit l'oreille. Deux employés pa

it ce qu'il peut pour garder les investisseu

les hommes de Coleman circulent. Ils ne lâcheront pas

xe. Elle n'avait aucune idée de qui était ce « Ethan », m

oi tout semblait-il si lourd ici  ? L'hôtel était magnifique, une œuvre d'ar

e somptueuse lorsqu'un bruit dans l'entrée la fit sursauter. Elle releva la têt

qui aurait suffi à faire taire une pièce entière. Il ne portait pas de badge

regard sombre la scrutant avec une

manda-t-il d'une voix b

e suis... Sandra. Nouvelle femme de

aluait chaque mot. « Vous avez une drôle de façon

ête, trop nerve

es ici pour faire ce qu'on vous dem

s yeux de lui. Il dégageait une aura magnétique,

e cadre de la porte. « Vous avez déjà e

la tête. « N

dez ça en tête. Les rumeurs sont des armes ic

ns et sortit, laissant

n résonnaient encore dans son esprit, tout comme ceux des employés dans le couloir. L'idée

lait com

Et bien que la peur fût omniprésente, une partie d'elle ne pouvait s'empê

a son attention. L'homme de ce matin, celui qui avait menacé la ré

velle recrue. Sandra, je crois. Tu

laça. C'était son nom.

tout rompre, avant de se fondre dans l'o

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