La Rennaissance De la Maitresse Du Chaos
1 : La
et tremblant. Du sang tache ses lèvres, et son souffle est rauque. La pièce aut
uolan, » murmure-t-elle, ses yeux brûlant de trahison malgré les larmes menaçant de tomber. « Toi... toi, vipère v
gés, les promesses murmurées dans l'obscurité, et cette cr
le couteau. « Qu'est-ce que tu veux dire ? » demande-t-elle, son ton dégoulinant de moquerie. « Je ne t'ai jamais
utte pour s'asseoir, ses mains tremblantes agrippant les draps. « Tu... tu m'as utilis
eux brillants de malveillance. « Ta confiance, ta loyauté, ton amo
? Un moyen que tu as utilisé pour gravir les échelons de la haute société ? Tout n'était qu'une mise en scène, n'est-ce pas ? Un scénario
elle se force à affronter le regard froid et insensible de Jiang Ruolan. « Alors dis-moi, » exige-t-elle, sa voi
se moquant, son ton suintant de condescendance. « Oui, tout cela n'était qu'une illusion. Tu as
se penche pour murmurer : « Tu veux rencontre
son sang se glace, et sa vision se brouille tandis qu'elle fixe Jiang Ruolan, bouche bée. « Q-Quoi... ?
issons. « Oh, pauvre idiote naïve, » ricane-t-elle. « Huang Cheng Yu ? Ton meilleur ami ? L
ne dans la pièce. Lentement, délibérément, Huang Cheng Yu sort de l'ombre. Son regard autrefois chale
.. qu'est-ce que tu fais ici ? Dis-moi que ce n'es
« Oh, chérie, il n'a rien besoin d'expliquer. Tu vois, cette idiote pense encore que tu es
alme et dénuée d'émotion. « Ruolan, i
our de ses épaules comme une victorieuse réclamant son trophée. « C'est notre moment ma
e Huang Cheng Yu, ses pas mesurés amplifiant la tension dans la pièce. Lorsqu'elle attein
du velours, mais tranchante comme une lame. Puis, avec une audace effrontée, elle
sinistre. Mais ce n'est pas tout, Huang Cheng Yu répond avec la même ardeur, sa main glissant sur la taille de Jiang Ruolan.
dégoût. « Vous êtes des porcs et des chiens ! » crie-t-elle, la voix tre
ourne vers elle avec un sourire qui pourrait glacer les os. « Oser ? » répond-e
nt que c'est ton heure que tu es sur ton lit de mort, laisse-moi tout te raconter. O
lant de dignité. Mais Jiang Ruolan ne s'arrête pas, son sourire s'agrandissant. « Regarde-toi, » dit-e
ng Yu. "Alors, ma chérie, es-tu prête ? Je vais tout te reveler. Ce sera notre dernier m