La Vengeance du Milliardaire
ait pour son bien, n'est-ce pas ? Pour l'aider à reconstruire sa vie, à échapper à l'ombre de son père. Mais chaque fibre de son être résistait à l'idée de passer plus
rrésistible dans sa présence, quelque
aurait pas de rendez-vous officiel, juste une rencontre pour discuter des opportunités professionnelles. Mais elle ne pouvait pas ignorer le nœud dans son ventre, la ner
ahit. Tout semblait figé, parfait. Le silence régnait, et l'atmosphère était chargée d'une tension palpable, comme si chaque objet dans la pièce é
ut dans l'embrasure de la porte, un sourire décontracté sur les lèvre
on visage, cherchant peut-être une réaction, une trace de nervosi
ses pensées se bousculaient. Pourquoi avait-elle accepté de veni
nner sans paraître ostentatoire. Les canapés en cuir blanc, les œuvres d'art modernes accrochées aux murs, l'éclairage
geste élégant vers un canapé en cuir, avant de prendre
se sous son regard scrutateur. Comment
il, son ton posé. Mais il y avait quelque chose dans la manière dont il parlait, qu
ndre ce que vous attendez de moi. Vous avez proposé une collaboration professionnelle, mais... » Elle hésita, ne sacha
elle, son regard sombre capturant le sien. « Ce que je vous propose, Sofia, c'est une chance de tourner la page, d'effacer ce pass
oi m'offrir cela ? Pourquoi vouloir m'a
i parce que c'est dans mon intérêt. Vous avez du potentiel, Sofia. Ce que vous avez vécu, ce que vous êtes, cela
ne manière de parler, de manipuler les choses avec une aisance déconcertante, et elle
« Peut-être. Mais vous avez un choix, Sofia. Vous pouvez choisir de faire
tension palpable. Elle sentit son cœur battre un peu plus vite, comme si une partie d'elle voulait céder, céder à cet
éger. « Vous avez soif ? » Il se leva et se dirigea
s. Il était si sûr de lui, si charismatique. Elle aurait pu l'en
nstant, puis ajouta, presque pour elle-même, «
« Vous ne vous perdez pas, Sofia. Vous apprenez juste à naviguer dans un nouvel environnement. » Il s'assit à no
u'elle tenait entre ses mains. Ses doigts tremblaient légère
it. Alors qu'Alessandro se penchait pour allumer une cigarette, un simple mouvement de
n s'abaissant pour nettoyer, un geste mal calculé fit
icipée. Elle sentit une vague de chaleur envahir ses joues, mais aussi une inexplicable vulnérabilité, que
compréhension traversant ses yeux so
que-là : une lueur de trouble. Pas de jugement, mais un trouble silencieux. Il se leva et l
, bien que fugace, n'avait pas échappé à Alessandro. Une part de lui, aussi calculatrice qu'il fût, était troublée par cette br