La Vengeance du Milliardaire
e et implacable, semblait se plier à sa volonté. Il serrait un verre de scotch entre ses doigts, les phalanges blanchies par une rage contenue. La mort de Viktor Petrov n'était pas une no
impérieux dans la pièce silencieuse. Alessandro posa so
ix basse, rauque, comme une l
out du fil. « Il est mort, Alessandro. Un accident de v
qué des milliards et ridiculisé son nom dans certains cercles financiers, était mort. P
Alessandro, maîtrisant l
ofia Petrov. Une héritière, si l'on peut dire. Elle vit à Londre
ntendu parler d'une Sofia Petrov, et pour cause. Viktor avait gardé sa vie privée hermé
lités. Je veux un dossier complet avant la fin de la semaine », ordo
s une heure. Mais je dois vous avertir, Alessandro. Elle n'est
nifiant », répondit Al
se distillait en lui, froide et méthodique. Sofia Petrov. Ce nom allait devenir sa clé. Viktor était
suels, travaillait comme conservatrice dans une petite galerie indépendante à Londres. Pas de propriétés extravagantes, pas de comptes bancaires suspects, rien qui la reliai
ire timide et une lueur dans les yeux, quelque chose de profondément différent de l'arrogance froide de Vik
l convoqua Carl
trer », dit Alessan
ment que c'est une cible viable ? Elle ne sai
d perçant. « C'est ce qu'elle peut devenir. Un outil. Une faiblesse. Une dette. Viktor a peut-être
e réserve. Alessandro l'ignora. L'homme n'avait pas be
ème. L'endroit était charmant, mais modeste. Rien qui aurait pu suggérer l'ombre de Viktor Petrov. Alessandr
ervant sans se cacher. Il nota la manière dont elle pliait légèrement la tête en réfléchissant
Une étincelle de surprise traversa ses yeux, mais ell
ider ? » demanda-t-elle,
oment. « Peut-être. Je cherchais quelque chose
ncère. « Eh bien, j'espère
ient intéressé mais difficile à impressionner. Elle finit par s'approc
e, vous semblez avoir un
coin. « Mais il y a quelque chose ici... un certain charme
écouta, mais il était bien plus intéressé par la manière dont elle parlait, sa passion évidente pour son t
ésiter avant de demander : « Et vou
on, je suis bien meilleure pour met
isfaction. Elle se sous-estimait, un
, déclara-t-il, désignant la pe
nt ? C'est un excellent choix.
tait de rien, et c'était exactement ce qui la rendait parfaite pour ce qu'il avait en tête. Mais alors qu'il la regardait interagir avec un autre
férer avec ses projets, mais cette fois, une étrange sens
courtoisie qui, il le savait, aurait semblé sincère. Puis il
et Sofia Petrov était sur le point